Archive | Quimperlé

10 octobre 2014 ~ 0 Commentaire

npa quimperlé

taf
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Marché Transatlantique :
Qu’on l’appelle TAFTA, CETA, TISA, APE, peu importe le sigle, pourvu qu’en- semble nous nous mobilisions contre ces accords de libre-échange et d’inves- tissement qui se négocient dans le plus grands secret, principalement entre l’Europe et les États Unis et ce, sous la responsabilité de nos gouvernements respectifs.
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S’ils y parviennent ce sera la consécration de la domination totale des multinationales.
Les derniers «verrous» qui cadrent encore un peu la toute puissance du capi- talisme, sauterons. La démocratie, notre citoyenneté ne seront plus que des leurres qu’ils agiteront sous notre nez pour mieux nous endormir.
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C’est au nom d’une soi-disant relance de la croissance que ces accords vont s’attaquer aux normes sociales, financières, sanitaires, culturelles et environne- mentales. Les grands médias en seront les portes voix. Si les États refusent leur diktats, les multinationales pourront les poursuivre dans des tribunaux privés d’arbitrage, hors de tout contrôle démocratique.
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Les abstentionnistes peuvent se réjouir, plus besoin d’aller voter, nous pour- rons tranquillement regarder leurs anesthésiants télévisuels, les multinationales penseront, dirigeront à notre place.
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Mobilisation européenne le 11 octobre 2014, rendez vous 11 h place Terre au Duc à QUIMPER
Collectif national STOP TAFTA : www.collectifstoptafta.org
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Le comité Local NPA Quimperlé

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02 octobre 2014 ~ 0 Commentaire

npa quimperlé

 interdictoion des lic

Hier 30 septembre 2014 s’est tenue, à l’initiative du comité local NPA, la première soirée «Café-Boulot» à Quimperlé, l’intention étant d’établir un débat autour de l’emploi qui, en parallèle à l’effondrement de l’agro-alimentaire en Bretagne, est en grand danger sur le bassin Quimperlois.

Débattre autour de l’emploi c’est également débattre sur tout ce qui s’y rapporte: conditions dans lesquelles on nous oblige à exercer notre travail – les déclarations de salariés en témoignent- pressions des cadres frisant le harcè-lement: chantage perpétuel, explicité ou pas «vous avez de la chance d’avoir du travail, si vous n’êtes pas contents, la porte est la, d’autres attendent» et licenciements abusifs….

Quand il y a quelques mois, nous avons organisé cette rencontre, nous ignorions que l’actualité serait de la partie: la lutte que mènent actuellement les salariés de BIGARD qui à travers la réintégration d’un des leurs, manifestent leur volonté à faire respecter leurs droits, a été saluée.

Cette première rencontre, autour d’un verre, a permis à tous les participants d’échanger, de partager colères et questionnements. Pas de «donneurs de leçon» hier soir, mais devant le constat du ras le bol général, la volonté de rassembler, de faire converger les luttes et les idées, en particulier, l’isolement étant notre pire ennemi, à travers un syndicalisme combatif.

Nous devons nous réapproprier la Politique. Politique prônant clairement une orientation de rupture avec le capitalisme et indépendante vis à vis des partis se réclamant du libéralisme.

Longtemps été discuté la place qu’occupe aujourd’hui l’extrême droite et sa «leader» qui se prétend du côté des classes populaires, installant ainsi volon- tairement la confusion dans les esprits et un écho dans la désespérance. Partout où le FN & C° a des élus, les libertés, la démocratie, l’humanisme, sont combattus voire interdits. Par contre le capitalisme et sa barbarie, non, au contraire ils s’en nourrissent.

Le NPA vous donne RDV à un prochain « Café-Boulot » fin novembre

NPA QUIMPERLE 1 octobre 2014

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29 septembre 2014 ~ 0 Commentaire

au coeur de l’abattoir, paroles de «bigard» (of)

porcs
Plusieurs ouvriers de chez Bigard ont souhaité parler de leur quotidien dans
les services abattage, découpe, salaison et nettoyage. Contactée par téléphone,
la direction n’a pas fait de commentaires sur la situation depuis le 15 septembre. Une partie des ouvriers du boucher industriel restent mobilisés pour défendre leur confrère licencié. Ils multiplient les contacts avec les élus. Cinq d’entre eux ont accepté de parler de leur métier.
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Témoignages:
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Robert: 52 ans, découpe porcs
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« Cette nuit, j’ai mal dormi. Mon épaule me fait souffrir. Hier, les porcs étaient durs, j’ai dû tirer plus sur mon couteau. Lever 4 h 30, sept heures à fond, six cochons à la minute: à la fin, je n’en pouvais plus. Quand on arrête le tapis à cause d’un abcès, les chefs, tout le temps sur notre dos, nous mettent la pression pour remettre en route le plus vite possible. Je stresse en permanence car j’ai peur de mal faire. Quand j’ai commencé, il y avait une bonne ambiance. Mais en 25 ans, les conditions de travail n’ont cessé de se dégrader. Le soir, je suis trop fatigué pour regarder les infos. Le week-end, je suis réveillé à 6 h et n’arrive pas à
rester au lit. Parfois, je veux partir, mais pour faire quoi ? Il faut bien que je vive. »
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Michèle, 51 ans, secteur salaison
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«Je suis salariée ici depuis 25 ans. Je me réveille à 3 h 30, commence à 5 h. Depuis plusieurs années, l’ambiance est devenue insupportable avec la pression mise par l’encadrement. Il fait 4°C dans mon service et la cadence est infernale. J’ai été opérée du canal carpien et d’une épaule. Je me demande combien de temps je vais pouvoir tenir, ma retraite est encore loin et il me paraît bien com- promis que je puisse être en bonne santé pour en profiter.»
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Jean-Michel, 35 ans, abattoir porcs
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«Je bosse depuis 18 ans dans le même service. À la fin des années 1990, la chaîne produisait 360 porcs par heure. Aujourd’hui: 420. Nous subissons la cha- leur, la vapeur et les cadences. On ne peut pas aller aux toilettes quand on veut : il faut attendre qu’on vienne nous remplacer. Les cadres sont de plus en plus sur les nerfs. Lorsqu’il y a un arrêt de chaîne, ils se mettent à courir dans tous les sens en gesticulant.»
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Paul, 45 ans, service nettoyage
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«Le service «entretien général» est technique: protocoles, consignes, matériel haute pression, eau à 55 °C, vapeur et buée, produits chimiques en mousses, gestes répétitifs, matériel à déplacer, positions fatigantes, au ras du sol et dans un temps minuté… Réactivité, adaptation. C’est un travail qui pourrait être valorisant. Malheureusement, la reconnaissance n’est pas là.
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Une équipe, c’est quatre groupes:
Groupe 1: 5 h. Accueil des intérimaires, attribution d’un vestiaire et d’une tenue de travail, contact avec l’encadrant du service où ils vont être affectés. On gère les protections individuelles par palettes: gants, dont ceux en cote de maille, char- lottes, tabliers, chasubles, bottes et chaussures de sécurité. On prépare les com- mandes de couteaux, puis c’est la réception et le nettoyage du matériel qui revient de chez nos clients. On poursuit avec le prélavage des abattoirs pendant les pauses, des frigos de stockage et l’entretien des aires de lavage des camions.
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Groupe 2: 13 h 15. Entretien des vestiaires, distribution du linge du lendemain, mise en place par atelier des produits de désinfection. On nettoie ceux déjà libérés. Après la pause: abattoir porc, boyauderie, traiteur…
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Groupe 3: 14 h 30. Nettoyage du restaurant d’entreprise, vestiaires, douches, sanitaires et bureaux: commerciaux, administratifs et direction.
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Groupe 4: de 20 h à 3 h 30. Principalement des hommes: nettoyage et désin- fection des abattoirs et ateliers: découpe, viandes hachées en frais et surgelé, abats et têtes.»
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Jérôme, 58 ans, découpe porcs:
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« Quand je suis entré il y a 36 ans, j’étais au chargement du porc. J’ai été muté à la découpe où je mettais des cartons de viande de 25 kg sur un convertisseur à plaques pour les congeler. Avec les 35 heures, le travail s’est dégradé car il a fallu faire le même avec quatre heures de moins. Toujours plus depuis. J’ai une ten- dinite à chaque coude, deux disques usés aux cervicales. J’ai hâte de foutre le camp.» Pierre FONTANIER.
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Par souci d’anonymat, ces prénoms ont été modifiés.

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25 septembre 2014 ~ 0 Commentaire

npa quimperlé

cafe qu im

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16 septembre 2014 ~ 0 Commentaire

Quimperlé, le fn perturbe la fête de la rose (of)

mf-pigmen

Hier, la fête de la Rose s’est déroulée dans la prairie Saint-Nicolas de 11h30 à 17h30. Des militants FN sont venus jouer les perturbateurs.

La 42édition de la fête de la Rose se déroulait hier dans la prairie Saint-Nicolas à Quimperlé. Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du parti socialiste, participait à l’événement.

À 11h30, une dizaine de militants FN sont venus perturber l’événement. Ils ont notamment violemment pris à parti Fabien Caron, le secrétaire de section d’Elliant: « Ils lui ont déchiré sa chemise et l’ont mis au sol. Ils arrachaient déjà nos affiches depuis plusieurs jours. On ne va pas laisser passer ça. Une plainte a été déposée », a rapporté Jérôme Le Bigaut, délégué de la 8circonscription du Finistère.  Le reste de la fête s’est déroulée dans le calme avec les interventions du maire Michaël Quernez, du député de la 8circonscription Gilbert Le Bris et de Jean-Christophe Cambadélis.  Quimperlé – 15 Septembre

http://www.ouest-france.fr/quimperle-le-front-national-perturbe-la-fete-de-la-rose-2827003

Commentaire: Sans

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16 septembre 2014 ~ 0 Commentaire

Un ouvrier licencié chez bigard, plus de 300 manifestants à quimperlé (of)

Manara-marre

 Plus de 300 salariés de chez Bigard ont manifesté en solidarité avec un de leurs collègues qui vient d’être licencié.

Un ouvrier de chez Bigard, boucher industriel à Quimperlé, vient d’être licencié pour une faute qu’il estime ne pas avoir commis. La solidarité s’organise. Plus de 300 employés de l’entreprise Bigard, géant de l’agroalimentaire qui emploie environ 1400 personnes à Quimperlé, manifestent depuis ce lundi 9 h devant l’entrée du site à l’appel de la CGT, unique syndicat présent dans cette société.

Ils défendent un de leurs collègues accusé par la direction d’avoir fermé les vannes d’un stérilisateur à couteaux le 28 juillet dernier. L’ouvrier, âgé de 48 ans et qui travaille chez Bigard depuis 26 ans, dit n’avoir même pas travaillé sur ce poste ce jour-là et ne comprend pas pourquoi il a été licencié dans une lettre reçue le 11 septembre après un entretien trois jours avant avec avec le directeur des ressources humaines.

Refus de communiquer Contactée en direct sur le site puis par téléphone via son service communication, la direction refuse de commenter la situation.Dernière tentative Après un défilé autour du rond-point face à la société entre 11 h et midi, les représentants syndicaux vont chercher une dernière fois ce lundi à nouer le dialogue avec la direction pour tenter de faire réintégrer leur collègue. Si elle refuse, la mobilisation devrait déboucher sur une procédure aux prud’hommes. Quimperlé – 15 Septembre

http://www.ouest-france.fr/un-ouvrier-licencie-chez-bigard-plus-de-300-manifestants-quimperle-2827044

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25 juillet 2014 ~ 0 Commentaire

Quimperlé, la cgt lance un préavis de grève aux pdm

y-en-a-marre

Le papetier de Quimperlé reste en proie à d’importantes difficultés. Le syndicat majoritaire de l’entreprise appelle à la mobilisation, de jeudi à samedi.

Les Papeteries de Mauduit produisent 45 000 tonnes de papier par an à Quimperlé.

«Ras le bol général». C’est le titre du tract CGT qui circule depuis hier matin au Papeteries de Mauduit, à Quimperlé. Le moral est en berne chez le papetier du bord de l’Isole, en crise depuis ses deux gros plans de licenciement en 2006 (210 licenciements) et 2009-2010 (101. Le syndicat, majoritaire dans cette entreprise qui emploie 609 salariés, a déposé un préavis de grève de 24 heures, mercredi matin à l’issue d’une réunion du comité d’entreprise. Il concerne le personnel de jour, vendredi 25 juillet toute la journée et neuf employés faction- naires jeudi, vendredi et samedi.

Une aide qui fâche Dans son tract, le syndicat s’interroge sur ce qui se passe dans l’entre- prise «qui a récemment reçu une aide de 527 000 € de l’État dans le cadre du crédit d’im- pôts. Cet argent public doit servir à créer de l’emploi, automatiser l’outil de production, dimi- nuer la pénibilité, etc.». Ce que la CGT estime incompatible avec ses revendications: «Une dégradation des conditions de travail; des investissements limités pour diminuer la pénibilité alors que la direction demande toujours plus de productivité aux salariés et un retour en arrière sur les jours de récupération…»

«Des salariés pris à parti» Autre point soulevé: «Des salariés sont pris à parti par certains cadres et agents de maîtrise pour des faits bénins et subissent des pressions de plus en plus difficiles à vivre au quotidien. Si ces menaces et pressions persistaient, la CGT se ré- serve le droit, avec le Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail, le CHSCT, de monter des dossiers de harcèlement et d’en référer à l’Inspection du travail. Nous exi- geons un plan détaillé en terme d’emploi, d’investissement et de diminution de la pénibilité, afin que cet argent ne finisse pas une fois de plus dans la poche des actionnaires et dirigeants.»

Pas de commentaires Les représentants des deux autres syndicats, la CFDT et FO, n’ont pas souhaité commenter ce préavis. La direction n’a pas non plus voulu communiquer: elle prévoit de le faire ce jeudi. Quimperlé – 24 Juillet

http://www.ouest-france.fr/quimperle-la-cgt-lance-un-preavis-de-greve-aux-pdm-2717524

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07 avril 2014 ~ 0 Commentaire

Quimperlé, le chômage guette les papeteries (of)

Manara-marre

La production du papier à cigarette baisse. Les salariés des Papeteries de Mauduit seront fixés, lundi, sur une baisse d’activité début mai.

La faute à la cigarette électronique ? À la baisse des ventes de cigarettes classiques ? Un peu des deux. Les Papeteries de Mauduit, entreprise fondée en 1855 et qui emploie 609 personnes à Quim- perlé, Finistère, ont annoncé mardi, à leurs employés qu’un comité d’entreprise extraordinaire se tiendrait lundi prochain.

Le papier à cigarettes en cause Au cœur des préoccupations du papetier, une baisse de la production des papiers « tables plates », qui entraînera du chômage partiel, dès le 2 mai. Si la direction a confirmé l’information, hier, elle se refuse pour l’instant à tout commentaire. Côté syndicats, la CFDT, Force ouvrière et la CGT se refusent à « anticiper le CE de lundi ». Cette dernière ne souhaite pas « annoncer aux employés une décision de la direction », mais parle de conséquences « importantes pour l’entreprise ». Quimperlé – 04 Avril

http://www.ouest-france.fr/quimperle-le-chomage-guette-les-papeteries-de-mauduit-2085859

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02 avril 2014 ~ 0 Commentaire

Rosporden: fermeture de boutet-nicolas (fr3)

affiche_boutet_nicolas_webl

Une page se tourne

L’usine agro-alimentaire Boutet-Nicolas à Rosporden, dans le Finistère, a fermé ses portes hier. C’est toute une page d’histoire qui se tourne, pour la ville et pour les 147 salariés. Depuis 80 ans, on met- tait  en boîte à Rosporden petits pois ou lentilles. L’usine Boutet-Nicolas était une valeur sûre, une entreprise où les couples faisaient carrière suivis par leurs enfants. Depuis hier matin, elle est officiellement fermée. La dernière ligne s’est arrêtée en fin de semaine dernière.

Un tiers de reclassements Plus d’un tiers des 147 salariés en CDI de Boutet-Nicolas ont accepté un reclassement dans les autres sites du groupe Cecab, principalement au Faouët ou à Saint-Thurien, chez Peny, spécialisée dans les plats cuisinés. Les salariés encore en période d’adaptation ont été bien accueillis mais il leur a fallu faire le deuil de leur ancien travail et accepter parfois des postes moins qualifiés. La cellule de reclassement mise en place va poursuivre les mesures d’accompagnement des salariés conduites depuis déjà des mois dans le cadre du plan social. Au final, la fermeture de l’usine Boutet-Nicolas se traduira par une vingtaine de licenciements secs.

Par Krystell Veillard Publié le 02/04/2014 | 10:29, mis à jour le 02/04/2014 | 10:29

http://bretagne.france3.fr/2014/04/02/rosporden-29-fermeture-de-boutet-nicolas-une-page-se-tourne-451303.html

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