Archive | Quimperlé
npa quimperlé
Hier 30 septembre 2014 s’est tenue, à l’initiative du comité local NPA, la première soirée «Café-Boulot» à Quimperlé, l’intention étant d’établir un débat autour de l’emploi qui, en parallèle à l’effondrement de l’agro-alimentaire en Bretagne, est en grand danger sur le bassin Quimperlois.
Débattre autour de l’emploi c’est également débattre sur tout ce qui s’y rapporte: conditions dans lesquelles on nous oblige à exercer notre travail – les déclarations de salariés en témoignent- pressions des cadres frisant le harcè-lement: chantage perpétuel, explicité ou pas «vous avez de la chance d’avoir du travail, si vous n’êtes pas contents, la porte est la, d’autres attendent» et licenciements abusifs….
Quand il y a quelques mois, nous avons organisé cette rencontre, nous ignorions que l’actualité serait de la partie: la lutte que mènent actuellement les salariés de BIGARD qui à travers la réintégration d’un des leurs, manifestent leur volonté à faire respecter leurs droits, a été saluée.
Cette première rencontre, autour d’un verre, a permis à tous les participants d’échanger, de partager colères et questionnements. Pas de «donneurs de leçon» hier soir, mais devant le constat du ras le bol général, la volonté de rassembler, de faire converger les luttes et les idées, en particulier, l’isolement étant notre pire ennemi, à travers un syndicalisme combatif.
Nous devons nous réapproprier la Politique. Politique prônant clairement une orientation de rupture avec le capitalisme et indépendante vis à vis des partis se réclamant du libéralisme.
Longtemps été discuté la place qu’occupe aujourd’hui l’extrême droite et sa «leader» qui se prétend du côté des classes populaires, installant ainsi volon- tairement la confusion dans les esprits et un écho dans la désespérance. Partout où le FN & C° a des élus, les libertés, la démocratie, l’humanisme, sont combattus voire interdits. Par contre le capitalisme et sa barbarie, non, au contraire ils s’en nourrissent.
Le NPA vous donne RDV à un prochain « Café-Boulot » fin novembre
NPA QUIMPERLE 1 octobre 2014
au coeur de l’abattoir, paroles de «bigard» (of)
Quimperlé, le fn perturbe la fête de la rose (of)
Hier, la fête de la Rose s’est déroulée dans la prairie Saint-Nicolas de 11h30 à 17h30. Des militants FN sont venus jouer les perturbateurs.
La 42e édition de la fête de la Rose se déroulait hier dans la prairie Saint-Nicolas à Quimperlé. Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du parti socialiste, participait à l’événement.
À 11h30, une dizaine de militants FN sont venus perturber l’événement. Ils ont notamment violemment pris à parti Fabien Caron, le secrétaire de section d’Elliant: « Ils lui ont déchiré sa chemise et l’ont mis au sol. Ils arrachaient déjà nos affiches depuis plusieurs jours. On ne va pas laisser passer ça. Une plainte a été déposée », a rapporté Jérôme Le Bigaut, délégué de la 8e circonscription du Finistère. Le reste de la fête s’est déroulée dans le calme avec les interventions du maire Michaël Quernez, du député de la 8e circonscription Gilbert Le Bris et de Jean-Christophe Cambadélis. Quimperlé – 15 Septembre
http://www.ouest-france.fr/quimperle-le-front-national-perturbe-la-fete-de-la-rose-2827003
Commentaire: Sans
Un ouvrier licencié chez bigard, plus de 300 manifestants à quimperlé (of)
Plus de 300 salariés de chez Bigard ont manifesté en solidarité avec un de leurs collègues qui vient d’être licencié.
Un ouvrier de chez Bigard, boucher industriel à Quimperlé, vient d’être licencié pour une faute qu’il estime ne pas avoir commis. La solidarité s’organise. Plus de 300 employés de l’entreprise Bigard, géant de l’agroalimentaire qui emploie environ 1400 personnes à Quimperlé, manifestent depuis ce lundi 9 h devant l’entrée du site à l’appel de la CGT, unique syndicat présent dans cette société.
Ils défendent un de leurs collègues accusé par la direction d’avoir fermé les vannes d’un stérilisateur à couteaux le 28 juillet dernier. L’ouvrier, âgé de 48 ans et qui travaille chez Bigard depuis 26 ans, dit n’avoir même pas travaillé sur ce poste ce jour-là et ne comprend pas pourquoi il a été licencié dans une lettre reçue le 11 septembre après un entretien trois jours avant avec avec le directeur des ressources humaines.
Quimperlé, la cgt lance un préavis de grève aux pdm
Le papetier de Quimperlé reste en proie à d’importantes difficultés. Le syndicat majoritaire de l’entreprise appelle à la mobilisation, de jeudi à samedi.
Les Papeteries de Mauduit produisent 45 000 tonnes de papier par an à Quimperlé.
«Ras le bol général». C’est le titre du tract CGT qui circule depuis hier matin au Papeteries de Mauduit, à Quimperlé. Le moral est en berne chez le papetier du bord de l’Isole, en crise depuis ses deux gros plans de licenciement en 2006 (210 licenciements) et 2009-2010 (101. Le syndicat, majoritaire dans cette entreprise qui emploie 609 salariés, a déposé un préavis de grève de 24 heures, mercredi matin à l’issue d’une réunion du comité d’entreprise. Il concerne le personnel de jour, vendredi 25 juillet toute la journée et neuf employés faction- naires jeudi, vendredi et samedi.
Une aide qui fâche Dans son tract, le syndicat s’interroge sur ce qui se passe dans l’entre- prise «qui a récemment reçu une aide de 527 000 € de l’État dans le cadre du crédit d’im- pôts. Cet argent public doit servir à créer de l’emploi, automatiser l’outil de production, dimi- nuer la pénibilité, etc.». Ce que la CGT estime incompatible avec ses revendications: «Une dégradation des conditions de travail; des investissements limités pour diminuer la pénibilité alors que la direction demande toujours plus de productivité aux salariés et un retour en arrière sur les jours de récupération…»
«Des salariés pris à parti» Autre point soulevé: «Des salariés sont pris à parti par certains cadres et agents de maîtrise pour des faits bénins et subissent des pressions de plus en plus difficiles à vivre au quotidien. Si ces menaces et pressions persistaient, la CGT se ré- serve le droit, avec le Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail, le CHSCT, de monter des dossiers de harcèlement et d’en référer à l’Inspection du travail. Nous exi- geons un plan détaillé en terme d’emploi, d’investissement et de diminution de la pénibilité, afin que cet argent ne finisse pas une fois de plus dans la poche des actionnaires et dirigeants.»
Pas de commentaires Les représentants des deux autres syndicats, la CFDT et FO, n’ont pas souhaité commenter ce préavis. La direction n’a pas non plus voulu communiquer: elle prévoit de le faire ce jeudi. Quimperlé – 24 Juillet
http://www.ouest-france.fr/quimperle-la-cgt-lance-un-preavis-de-greve-aux-pdm-2717524
Quimperlé, le chômage guette les papeteries (of)
La production du papier à cigarette baisse. Les salariés des Papeteries de Mauduit seront fixés, lundi, sur une baisse d’activité début mai.
La faute à la cigarette électronique ? À la baisse des ventes de cigarettes classiques ? Un peu des deux. Les Papeteries de Mauduit, entreprise fondée en 1855 et qui emploie 609 personnes à Quim- perlé, Finistère, ont annoncé mardi, à leurs employés qu’un comité d’entreprise extraordinaire se tiendrait lundi prochain.
Le papier à cigarettes en cause Au cœur des préoccupations du papetier, une baisse de la production des papiers « tables plates », qui entraînera du chômage partiel, dès le 2 mai. Si la direction a confirmé l’information, hier, elle se refuse pour l’instant à tout commentaire. Côté syndicats, la CFDT, Force ouvrière et la CGT se refusent à « anticiper le CE de lundi ». Cette dernière ne souhaite pas « annoncer aux employés une décision de la direction », mais parle de conséquences « importantes pour l’entreprise ». Quimperlé – 04 Avril
http://www.ouest-france.fr/quimperle-le-chomage-guette-les-papeteries-de-mauduit-2085859
Rosporden: fermeture de boutet-nicolas (fr3)
Une page se tourne
L’usine agro-alimentaire Boutet-Nicolas à Rosporden, dans le Finistère, a fermé ses portes hier. C’est toute une page d’histoire qui se tourne, pour la ville et pour les 147 salariés. Depuis 80 ans, on met- tait en boîte à Rosporden petits pois ou lentilles. L’usine Boutet-Nicolas était une valeur sûre, une entreprise où les couples faisaient carrière suivis par leurs enfants. Depuis hier matin, elle est officiellement fermée. La dernière ligne s’est arrêtée en fin de semaine dernière.
Un tiers de reclassements Plus d’un tiers des 147 salariés en CDI de Boutet-Nicolas ont accepté un reclassement dans les autres sites du groupe Cecab, principalement au Faouët ou à Saint-Thurien, chez Peny, spécialisée dans les plats cuisinés. Les salariés encore en période d’adaptation ont été bien accueillis mais il leur a fallu faire le deuil de leur ancien travail et accepter parfois des postes moins qualifiés. La cellule de reclassement mise en place va poursuivre les mesures d’accompagnement des salariés conduites depuis déjà des mois dans le cadre du plan social. Au final, la fermeture de l’usine Boutet-Nicolas se traduira par une vingtaine de licenciements secs.
Par Krystell Veillard Publié le 02/04/2014 | 10:29, mis à jour le 02/04/2014 | 10:29