Archive | Quimper et pays glazik

08 mars 2025 ~ 0 Commentaire

Quimper (NPA)

Lors de la manifestation du 8 mars 2024.

Lors de la manifestation du 8 mars 2024. (Archives Le Télégramme/Olivier Scaglia)

À Quimper, le NPA appelle à rejoindre la grande marche du 8 mars

La Journée internationale des droits des femmes aura lieu ce samedi 8 mars 2025. À cette occasion, une grande marche sera organisée par des syndicats et associations féministes du collectif Nous Toutes. Le rendez-vous est fixé à 15 h, place Saint-Corentin. Un moment « convivial et festif », soulignent les organisateurs, auquel le NPA de Cornouaille appelle aujourd’hui à participer.

« Le 8 mars, faisons grève du travail productif et reproductif. Rassemblons-nous et mobilisons-nous pour nos droits, pour l’égalité réelle », écrit le Nouveau parti anticapitaliste dans un communiqué, adressé ce mercredi 5 mars 2025. Lui, qui appelle à « améliorer nos conditions de vie et de travail ; lutter contre les violences sexistes et sexuelles ; lutter contre l’extrême droite qui est un danger pour toutes les femmes et les minorités de genre ; lutter en solidarité avec les femmes du monde entier ».

https://www.letelegramme.fr/

Plusieurs rassemblements organisés en Bretagne pour la journée internationale des droits des femmes


De Saint-Brieuc à Vannes en passant par Rennes, de nombreuses manifestations sont prévues en ce 8 mars 2025 (image d’archive) © Radio France – Valentin Belleville

Des rassemblements et manifestations sont organisés en Bretagne ce samedi 8 mars 2025, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes.

Pancartes, slogans, chansons… des milliers de personnes descendent dans la rue ce samedi 8 mars partout en France à l’occasion de la journée international des droits des femmes. En Bretagne, plusieurs rassemblements et manifestations sont prévues toute la journée

Des rassemblements à Vannes, Saint-Brieuc, Rennes…

À Saint-Brieuc, une manifestation est organisée en début d’après-midi. Le cortège partira à 14h de place du Guesclin. À Rennes, une Zone d’Occupation Féministe (ZOF) se tiendra sur le mail François-Mitterrand de 11 h à 15 h avant une manifestation dans le centre ville.

Du côté de Saint Malo, un rassemblement se tiendra au Jardin des Douves, au pied du château de 14 h à 18 h. Une déambulation est prévue dans l’Intra-Muros, de 15 h à 16 h. Enfin, à Vannes, un village associatif va s’installer sur l’esplanade du port Simone-Veil de 10 h à 18 h. Des déambulations sont prévues ensuite de 14h à 16h.

Charlotte Schuhmacher; samedi 8 mars 2025

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04 mars 2025 ~ 0 Commentaire

KEMPER

Le collectif rassemblé devant l’une des maisons mises en vente par la Ville, impasse de l’Odet à Quimper.
Le collectif rassemblé devant l’une des maisons mises en vente par la Ville, impasse de l’Odet à Quimper. (Le Télégramme/Olivier Scaglia)

Propriété municipale en vente à Quimper : le collectif un toit pour tous mobilisé pour l’hébergement d’urgence

 Le collectif Urgence un toit pour tous s’insurge contre la vente par la Ville de ce qu’elle voit comme trois potentiels logements d’urgence pour des familles à Quimper. « C’est à l’État de gérer ces situations d’urgence », répond l’adjoint aux solidarités.

« La Ville n’offre pas de solutions pour l’hébergement d’urgence de familles », continuent de déplorer d’une même voix les membres du collectif quimpérois Urgence un toit pour tous. Ils sont tout particulièrement mobilisés après que la Ville a mis en vente aux enchères trois bâtisses insalubres : « Environ 218 m2 impasse de l’Odet, environ100 m2 rue de la Providence et environ 300 m2 rue de Kerfeunteun ».

Le collectif qui a rencontré les élus à travers un groupe de travail dit avoir reçu une fin de non-recevoir quant à l’éventuelle ouverture d’un hébergement d’urgence. « Le CCAS loge déjà beaucoup de familles », répond Mathieu Stervinou, adjoint en charge des solidarités. « Pour l’hébergement d’urgence, c’est l’état qui gère, notamment à travers le 115 ».

Olivier Scaglia 03 mars 2025

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06 octobre 2024 ~ 0 Commentaire

Concarneau (OF)

Bretagne. À Concarneau, 400 personnes manifestent contre « l’empire Bolloré »

Environ 400 personnes se sont rassemblées à Concarneau (Finistère), samedi 5 octobre 2024, pour dénoncer « l’empire Bolloré ». Elles estiment que l’homme d’affaires détient une trop grande influence dans les médias français.

Environ 400 personnes ont manifesté à Concarneau, samedi 5 octobre 2024, pour dénoncer « l’empire Bolloré ».

Ils ont joué les marins « d’eau douce », à défaut de prendre la mer. Initialement prévu en bateau dans l’archipel des Glénan (Finistère), un rassemblement visant à dénoncer « l’empire Bolloré » s’est finalement déroulé à terre, à Concarneau, samedi 5 octobre 2024.

400 personnes venues de tout le Finistère ont répondu à l’appel du collectif finistérien « Lever les voiles », rejoint par celui des Soulèvements de la terre. Tous deux accusent l’industriel breton d’avoir embauché un militant d’ultra-droite pour garder son île privée aux Glénan. Un archipel « symbole de la Résistance » , a rappelé le navigateur morbihannais Eugène Riguidel, présent au rassemblement.

Au-delà des frontières bretonnes, les manifestants ont affirmé leur « ras-le-bol » face à ce qu’ils considèrent comme une « emprise de Vincent Bolloré sur les médias français et la sphère politique ». Mais aussi « une libération de la parole d’extrême-droite » qui constitue, selon eux, un « danger pour la démocratie ».

Les organisateurs ont annoncé prévoir des actions similaires partout en France, dans les mois qui viennent. Dont une aux Glénan au printemps, quand les conditions météo seront plus favorables.

05/10/2024

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08 septembre 2024 ~ 0 Commentaire

Quimper (NPA)

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Plus de 1500 à Kemper ce 7 septembre avec le NFP et une participation trés militante du NPA l’Anticapitaliste

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14 août 2024 ~ 0 Commentaire

Enfants à la rue (Le Télégramme)

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Rachid Drif, à gauche, directeur adjoint de l’action sociale au Département à la rencontre des militants en début d’après-midi devant le conseil départemental, avant une petite heure d’échanges dans les bureaux. (Le Télégramme)

« Des familles avec enfants mises à la rue, c’est indigne » : une délégation de militants reçue par le Département à Quimper

Une délégation des militants rassemblés devant le conseil départemental à Quimper mardi 13 août à 14 h a été reçue par la direction des services. Derrière l’actualité de deux familles de migrants, la question des enfants à la rue en Cornouaille.

« Nous considérons que des enfants à la rue est bien une situation de détresse. Et que le droit à l’hébergement d’urgence est bafoué, ici, dans une ville qui ne connaît habituellement pas ça », rappelle Jean-Pierre Bigorgne porte-parole du collectif organisateur (*) à la trentaine de militants ayant répondu, ce mardi 13 août peu après 14 h, à un nouvel appel à rassemblement au soutien de trois familles de migrants — trois femmes seules avec leurs enfants — et sans solution de logement pérenne depuis plusieurs jours.

Rachid Drif, à gauche, directeur adjoint de l’action sociale au Département à la rencontre des militants en début d’après-midi devant le conseil départemental, avant une petite heure d’échanges dans les bureaux. (Le Télégramme)

« Nous considérons que des enfants à la rue est bien une situation de détresse. Et que le droit à l’hébergement d’urgence est bafoué, ici, dans une ville qui ne connaît habituellement pas ça », rappelle Jean-Pierre Bigorgne porte-parole du collectif organisateur (*) à la trentaine de militants ayant répondu, ce mardi 13 août peu après 14 h, à un nouvel appel à rassemblement au soutien de trois familles de migrants — trois femmes seules avec leurs enfants — et sans solution de logement pérenne depuis plusieurs jours.

La famille monoparentale de quatre enfants dont un bébé est finalement prise en charge par le conseil départemental. « Mais nous ne savons pas jusqu’à quand », s’interrogeaient les militants juste avant d’être reçus par Rachid Drif, directeur général adjoint de l’action sociale au Département. « Une rallonge de nuitées d’hôtel, c’est évidemment mieux que la rue. Mais pour une famille quatre enfants, ce n’est pas terrible », ajoute-t-il, déplorant le verrouillage du budget du Siao, structure d’État gérant l’accueil d’urgence, via le 115 notamment.

Trente à quarante militants se sont rassemblés devant le conseil départemental pour exiger que plus aucun enfant ne soit sans solution d’hébergement à Quimper. (Le Télégramme)

« Nous ne voulons plus voir de familles avec enfants mises à la rue, c’est indigne. » Les services du Département sont en train de faire le lien avec le père salarié et résidant à Mayotte. Une solution pérenne se dessine peut-être pour la mère de famille et ses enfants à Rennes.

Deux familles en suspens

Selon les militants rassemblés ce jour, la deuxième des trois familles serait dans une zone grise administrative, considérée comme irrégulière par la préfecture. « Notre interlocuteur du conseil départemental nous a dit chercher des solutions pour veiller à l’hygiène quotidienne de la famille. Il nous a aussi dit solliciter la préfecture dont ce dossier relèverait. »

 » Nous appelons à un nouveau rassemblement devant la préfecture mardi 20 août. »

La troisième famille ne saurait être considérée en situation d’urgence, car solvable. « Un certain paradoxe », constatent les militants. « Il montre bien la nécessité de rétablir le droit au travail permettant à ces personnes de financer leur logement et de vivre dignement. La preuve, c’est que cette situation est reconnue dans certains cas. »

À l’issue d’un échange d’environ une heure et qualifié de « cordial » de part et d’autre, les militants quimpérois ont décidé d’un nouveau rassemblement devant la préfecture cette fois, mardi 20 août, à 18 h, avec la volonté affichée  «d’amplifier le mouvement ».

* Droit d’asile Quimper Cornouaille, Ligue des Droits de l’Homme, Fraternité Douarnenez, Solidaires, Les Écologistes-EELV, LFI, NPA, PCF, PG, UDB, CNT.

https://www.letelegramme.fr/

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13 juin 2024 ~ 0 Commentaire

Saupiquet (FR)

Sardines de la marque Saupiquet, dont la dernière conserverie de poissons à Quimper a été rachetée en 1999 par le groupe italien Bolton.

L’usine Saupiquet de Quimper, propriété des Italiens de Bolton Food, menacée de fermeture. 155 emplois sont en jeu

Cent cinquante-cinq emplois sont menacés par un projet de fermeture de la conserverie Saupiquet de Quimper, a annoncé le groupe italien Bolton Food dans un communiqué diffusé mercredi. L’usine produit des conserves de maquereaux et de sardines, concurrencées par les marques de la grande distribution.

« Ce projet est la conséquence de la baisse du marché des conserves de poissons en France et en Europe qui a entraîné, pour Bolton Food, des baisses de volumes de ventes et de production qui se traduisent par des résultats négatifs », a précisé le groupe propriétaire de l’usine.

La direction a annoncé mardi en Comité social et économique (CSE) « l’ouverture prochaine d’une procédure d’information-consultation » le 20 juin sur ce projet. Le groupe « s’engage à proposer des mesures d’accompagnement » et à travailler « pour identifier d’éventuelles opportunités de reprise du site ».

Baisse des ventes et concurrence des marques de la grande distribution

L’usine produit des conserves de maquereaux et de sardines, essentiellement à destination du marché français, sur lequel « le volume des ventes de Bolton Food a diminué de près de 25%, entre 2020 et 2023″, concurrencé par les marques de la grande distribution. Le groupe italien dit, enregistrer des pertes sur le marché français « depuis 2022, lesquelles ont atteint 5 millions d’euros en 2023″.

« Dans la mesure où les autres principaux marchés européens connaissent la même tendance baissière, tous les sites de production de conserves de poisson de Bolton Food font face à une surcapacité de production importante », souligne-t-il. « Bien que le site (de Quimper) ait poussé ses performances au maximum, il enregistre aujourd’hui l’un des taux d’utilisation les plus faibles de Bolton Food », souligne-t-il.

Investissements et recherche de nouveaux débouchés

Le groupe familial italien met aussi en avant ses « efforts engagés », à savoir 13 millions d’euros d’investissement pour améliorer la productivité du site, ainsi que des « tentatives de développement de nouveaux débouchés internationaux pour le maquereau, qui représente 90% de la production de Quimper ».

  Krystel Veillard   13/06/2024

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14 mai 2024 ~ 0 Commentaire

NPA Kemper

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26 avril 2024 ~ 0 Commentaire

Hôpital (Côté Quimper)

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À l’hôpital de Quimper, l’absentéisme inquiète

Jeudi 25 avril, les syndicats du Centre hospitalier de Quimper dénonçaient leurs conditions du travail : absentéisme, refus de congés, matériel de qualité inférieure…

Drapeaux à la main, les syndicalistes du Centre hospitalier de Quimper Cornouaille (Finistère) affichent un air soucieux. L’arrivée de Yann Dubois à la direction en janvier 2024 laissait espérer un nouveau management.

« Nous restons sur notre faim », déplore Pascale Jacq de Sud Santé, jeudi 25 avril 2024. Ce « nous », c’est la CFDT, la CGT et Sud Santé.

Grossesses, retraites… mais pas de remplacement

Ils pointent en premier lieu le taux d’absentéisme, estimé à 10% par les syndicats. Les arrêts maladie se multiplient, sans que le personnel ne soit remplacé, relatent-ils. « Alors que les grossesses et les départs à la retraite peuvent être anticipés », fustige Pascale Jacq.

À l’Ehpad Ti Creac’h, qui dépend de l’hôpital, une aide-soignante va partir à la retraite. L’équipe passera de trois à deux personnes… pour 100 patients. C’est clairement dangereux. Laura Le Yeuc’h, Sud Santé.

De son côté, Nathalie Frémin, coordinatrice générale des soins, assure que le recrutement se fait « au fil de l’eau » : « Nous commençons à chercher une solution dès que l’arrêt maladie est annoncé. »

Depuis le début de l’année, 29 infirmières et 34 aides-soignantes ont été embauchées.

Refus de congés

Les syndicats redoutent la saison estivale, où les patients sont plus nombreux. Il a été proposé à plusieurs personnels de changer de rythme, en travaillant le jour et la nuit. « L’idéal serait d’avoir une équipe de nuit autonome. Ce serait physiologiquement mieux. Mais nous sommes obligés de réorganiser, en sollicitant le pool de remplacement », précise Nathalie Frémin.

Ce rythme casse les gens. Désormais, ils peuvent craquer pour une bêtise. Il y a beaucoup de burn-out. Pascale Jacq, Sud Santé.

Autre problème posé par les syndicats : certains employés se seraient vu refuser des congés. « C’est un raccourci, tempère Nathalie Frémin. Lors des réunions d’équipe, nous demandons aux personnels de s’organiser entre eux. Surtout lorsqu’il y a une forte demande sur la même période. »

Un matériel de moins bonne qualité

Enfin, l’intersyndicale mentionne un manque de matériel, voire une dégradation de sa qualité. Elle évoque de nouveaux changes pour les retraités, ainsi que des produits pour la peau qui provoqueraient des rougeurs.

Nathalie Frémin rappelle que ces changements sont nécessaires, afin de « respecter la réglementation sur les produits utilisés », et que ces derniers « font l’objet d’essais ».

Un tel contexte pourrait rebuter les futures recrues, à l’image des stagiaires. C’est ce que craint l’intersyndicale : « Ça risque de les dégoûter, ils ne seront pas prêts de revenir. »

Pas pour Nathalie Frémin, qui préfère voir le verre à moitié plein : « Les étudiants souhaitent revenir travailler ici après l’obtention de leur diplôme », assure-t-elle.

https://actu.fr/bretagne/

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09 avril 2024 ~ 0 Commentaire

Technival breton (NPA)

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ʟ’ɪᴍᴀɢᴇ ɴᴏᴜs ʀᴀᴘᴘʀᴏᴄʜᴇ NPA Cornouaille Hebdo L’Anticapitaliste – 703 (11/04/2024)
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Technival breton : Du bruit, de la pluie, de la gendarmerie

Sur le tarmac de l’ancien aéroport de Quimper (29) à Pluguffan s’est installé le « Tek’West », une fête gigantesque avec plus de 10 000 participantEs, malgré un temps épouvantable, et ce, pendant tout le long week-end de Pâques.

Comme un pied de nez aux promoteurs de l’avion et du kérosène, le choix de ce lieu fait suite à la fermeture de l’activité de l’aéroport, fruit d’une lutte dénonçant son inutilité et son impact écologique. Il ne contient désormais qu’un modeste aéro-club qui n’a subi aucun dommage.

Du son plutôt que des avions

Alors même que ces anciennes pistes permettaient l’installation des murs de son sans trop de problèmes, la préfecture du Finistère a immédiatement décrété que ce rassemblement était illégal, faisant fi des milliers de jeunes se rassemblant et pour certainEs exprimant clairement leur refus des violences policières et des interdictions.

Dès le samedi, le dispositif policier par des contrôles, chicanes et check-points sur les routes conduisant à l’aéroport a tout fait, en vain, pour empêcher l’afflux impressionnant de toutes et tous les teufeurEs.

Malgré cette présence policière, des milliers de jeunes et moins jeunes, dont nombre de participantEs des alentours, ont contourné les divers barrages pour accéder au tarmac et au teknival.

Bruit, nuisances et répression

Alors certes, les murs de son ont fait trembler le voisinage et la quiétude des riverainEs déshabituéEs du bruit depuis que les avions ne les survolent plus…

Alors certes, des témoins rouspètent contre des jeunes étant passés par leur jardin pour accéder à la fête, mais au-delà, et selon les propos mêmes du maire de Pluguffan, il n’y a pas eu d’incidents majeurs ni de comportements « délictueux ».

Et pourtant, sans être empêchéEs physiquement d’aller sur place, les teufeurEs ont subi une répression financière particulièrement forte.

L’ensemble des festivalierEs ont écopé chacun et chacune de 135 euros d’amende ainsi que 135 euros pour chaque véhicule. La somme vertigineuse atteint 1,7 million d’euros, sans compter les 340 m3 de matériel (sono, éclairage…) saisis et les « 68 personnes auditionnées pour organisation ou complicité d’organisation d’un rassemblement illégal ».

Dégradations et hypocrisie

Selon la Préfecture et la CCI (Chambre de commerce et de l’industrie), le montant des dégradations est évalué à 130·000 euros (plus de 10 fois moins que les amendes récoltées). Les principales dégradations sont les portails et grillages qui empêchaient l’accès libre au tarmac.

On peut sans peine imaginer que si le rassemblement n’avait pas été frappé d’illégalité et l’accès laissé libre aux festivalierEs et au matériel, les dégradations auraient été bien moindres.

En s’entêtant à interdire de tels rassemblements, festifs et gratuits, particulièrement nombreux en Bretagne, les autorités préfectorales et le gouvernement ne font que stigmatiser un monde musical et une jeunesse qui ne s’arrêtera pas là et qui comprend fort bien les régressions en cours et la répression omniprésente.

Ainsi que le dénonçait non sans humour l’un des étendards de la « Tek’West » : « La police peut nuire à vous et à vos proches ». Fin momentanée de l’épisode… jusqu’au prochain.

NPA Cornouaille

https://lanticapitaliste.org/

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03 avril 2024 ~ 0 Commentaire

Marx ( Ergué Armel )

ludivine

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