Archive | NPA

05 mars 2023 ~ 0 Commentaire

besancenot (france info)

olivier b

Réforme des retraites : « C’est une bataille, il y aura un vainqueur et un perdant », assure Olivier Besancenot

« L’objectif, c’est qu’on prenne cette réforme, et qu’on la mette à la poubelle », déclare dimanche Olivier Besancenot, porte-parole du NPA.

« On est engagé dans une bataille, il y aura un vainqueur et un perdant », a déclaré dimanche 5 mars Olivier Besancenot, porte-parole du NPA, dans Questions politiques sur France Inter, franceinfo, avec Le Monde, à la veille d’une semaine de mobilisation contre la réforme des retraites.

« Je fais partie de ceux qui pensent qu’on était perdu d’avance » au Parlement, explique-t-il, revendiquant « une vie politique et sociale extra-parlementaire ». Selon lui, « on va arriver à ce vrai-faux suspens où il y aura un accord entre Macronistes et Républicains » sur le texte, qui impose de la « massivité » dans la mobilisation, « car il n’y a que comme ça qu’on gagne ».

Olivier Besancenot dénonce « l’idéologie » du président Emmanuel Macron dans sa manière d’aborder la réforme, « c’est un vieux rêve libéral de faire la démonstration qu’on est capable de faire plier la rue ». Mais contrairement à la réforme Woerth en 2010, où le texte avait été voté malgré 14 grandes manifestations, « on a pour nous ce qu’il nous manquait », assure le porte-parole du NPA : « il y a un enracinement profond en région qui rappelle 1995, ce qui se passe dans le privé et dans la jeunesse ».

Les syndicats et les partis de gauche appellent unanimement à durcir le ton. « C’est la première fois que j’entends à ce niveau-là une unité qui tient sur de telles bases », assure-t-il. Il affirme « comprendre » que le secrétaire de la fédération de la chimie de la CGT, Emmanuel Lépine, veuille mettre l’économie française « à genoux ». « Il va falloir s’habituer à ce qu’il y ait des propos qui décoiffent un peu », ajoute-t-il, « tout le reste du temps, c’est la population qui est à genoux, à cause de l’ordre économique et des diktats de la rentabilité ».

« Frapper vite et fort » 

Olivier Besancenot espère que « personne ne tremblera quand il faudra prendre la décision de continuer » la grève. Il assure cependant que « le but du jeu n’est pas que ça dure, on va tenter de frapper vite et fort avec cette grève générale et reconductible ».

Il rappelle enfin l’objectif premier de cette mobilisation : « L’objectif, c’est qu’on prenne cette réforme, et qu’on la mette à la poubelle ». Ce mouvement pourrait toutefois avoir des conséquences politiques, reconnaît Olivier Besancenot. « S’il y a une crise politique qui se greffe à cela, ce ne sera pas de ma faute, ce sera celle d’Emmanuel Macron. Si son mandat se joue maintenant, peut-être qu’il sera plus court que prévu », ironise-t-il.

05/03/2023

https://www.francetvinfo.fr/

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04 mars 2023 ~ 0 Commentaire

russie (à l’encontre)

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Russie. «Combien de temps encore cela peut-il durer?»

Un an s’est écoulé depuis le début de l’invasion russe en Ukraine. Lorsque tout a commencé, la propagande du Kremlin garantissait l’effondrement du «régime de Kiev» en quelques heures, la prise de la capitale ukrainienne en quelques jours, et que les dirigeants de l’Europe occidentale viendraient à genoux à Moscou.

On nous a ensuite garanti que les Européens allaient geler sans le gaz russe. Toutefois, alors que l’hiver touche à sa fin, les propagandistes glorifient la patience du peuple russe, qui endurera sans un murmure toutes les épreuves qui le guettent. Un nouveau thème parmi les analystes pro-Kremlin est que la guerre se poursuivra pendant encore au moins dix ans; et en fait, pour toujours. Car personne ne promet que dans dix ans la situation s’améliorera.

L’inévitabilité de la défaite militaire est désormais manifeste, même pour nombre de ceux qui ont accueilli l’invasion avec enthousiasme et l’ont soutenue idéologiquement. Voir, par exemple, les récents discours du héros du «printemps russe» de 2014, Igor Guirkine – [alias Igor Ivanovitch Strelkov, ancien du FSB, ultra-nationaliste, qui avait joué un rôle important en 2014 lors de l’annexion du Donbass et de la Crimée – qui appelait auparavant à la mobilisation et à la guerre jusqu’à la victoire, et qui discute maintenant principalement de scénarios de défaite.

Le principal sujet de discussion est maintenant de savoir si l’économie peut soutenir la sollicitation croissante, et comment cela affectera le système politique. Au cours de l’été 2022, les sanctions ont entraîné une grave baisse de la production, tandis qu’en janvier 2023, un important déficit budgétaire a été révélé.

Aucun de ces éléments n’a toutefois été vécu comme un désastre social, d’autant plus que la situation du pays n’a cessé de se détériorer au cours des dix dernières années, si bien que les problèmes actuels ne semblent donc être qu’une composante de la vie normale: hausse des prix, bas salaires et nombreuses difficultés quotidiennes auxquelles les gens sont accoutumés depuis longtemps.

Cela signifie-t-il que rien n’a changé en Russie au cours de l’année écoulée? En fait, il y a eu des changements, et des changements significatifs.

Même si, dans les premiers mois qui ont suivi l’invasion de l’Ukraine, la plupart des Russes n’avaient tout simplement pas remarqué la guerre, la mobilisation qui a eu lieu en septembre 2022 a suffi à modifier la prise de conscience des gens.

Il n’y a aucune raison de tergiverser quant au résultat de la mobilisation – après tout, la retraite la plus importante d’un point de vue stratégique de l’armée russe (la reddition de Kherson) s’est produite après que des milliers de recrues aient été envoyées au front.

La fuite massive des hommes et des familles jeunes de Russie, qui a commencé après l’annonce de la mobilisation, a fait qu’au moins un million de personnes ont quitté le pays. Selon certaines estimations, ce chiffre s’élève à plus de deux millions.

En d’autres termes, le nombre de Russes qui ont émigré après la mobilisation est exactement comparable au nombre de réfugié·e·s ukrainiens qui ont fui vers l’Ouest, bien qu’il n’y ait pas eu de combats sur le territoire de la Russie elle-même.

[Le total des réfugié·e·s ukrainiens, en février 2023, «résidant» – avec «statut de protection temporaire» permettant de «séjourner et de travailler librement» – en Pologne, en République tchèque, en Slovaquie, en Croatie, en Bulgarie, en Roumanie et dans les Pays baltes avoisine les 2,5 millions; pour ce qui est de l’Allemagne, de l’Autriche, de la France, de l’Italie, de l’Espagne, du Portugal, de la Belgique, des Pays-Bas, le total avoisine 1,65 million –

4 mars 2023 Alencontre Boris Kagarlitsky

https://alencontre.org/

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03 mars 2023 ~ 0 Commentaire

besancenot (france info)

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03 mars 2023 ~ 0 Commentaire

plélan (npa)

porcs

Fleury Michon : non à la fermeture de l’usine de Plélan-le-Grand

Avec des bénéfices nets de plus de 4 millions, Fleury Michon n’est visiblement pas une entreprise en grande difficulté, quoi qu’en disent leurs dirigeants pour se justifier. Que l’on ne s’y trompe pas, si Fleury Michon ferme l’usine de Plélan-le-Grand (35), c’est pour maintenir les profits des actionnaires de ce groupe coté en bourse.

Il est inacceptable qu’une entreprise puisse supprimer une usine au nom d’un prétendu « Plan de sauvegarde de l’emploi ». Le groupe doit assurer la continuité du salaire et du contrat de travail de ses salariéEs, le financement de cette mesure devant être garanti par le patronat de la branche concernée. Pas unE salariéE ne doit rester sur le carreau.

Ouverture des livres de comptes et contrôle des travailleurEs

Le NPA se prononce pour l’interdiction des licenciements, pour l’ouverture des livres de comptes, la mise à plat des choix budgétaires du groupe, la mise sous contrôle de l’entreprise (quitte à réquisitionner l’usine) de Plélan par les travailleurEs du site.

L’outil de travail, préservé et contrôlé par les travailleurEs, doit alors être mis au service de la reconversion vers une autre production, de qualité, tenant compte des limites de la planète. Qui d’autre que les salariéEs de l’entreprise est en mesure de dire ce que pourrait être une production correspondant aux besoins sociaux de la population, et non aux exigences du marché mondialisé ?

Cette reconversion pourrait être un pas vers une refonte de la filière agroalimentaire, rompant avec cette société qui sacrifie les humains et la nature au profit de quelques-uns, qui détruit l’emploi paysan, ravage l’environnement, mène la vie très dure aux paysanEs et aux salariéEs des usines, qui engendre l’exploitation des animaux et génère une souffrance animale de masse.

Il est temps de se mobiliser ensemble, travailleurEs industriels et de la terre, pour mettre en discussion une alternative autour de la construction de la sécurité sociale de l’alimentation.

Vendredi 3 mars 2023

https://lanticapitaliste.org/

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03 mars 2023 ~ 0 Commentaire

le poing (npa)

 03 mars 2023

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03 mars 2023 ~ 0 Commentaire

poutou (l’humanité)

Petite-Histoire-de-la-révolution-française_couv

Philippe Poutou : « Le traitement des »petits« candidats est l’illustration d’un mépris social très présent »

Dans  Un « petit » candidat face aux « grands » médias, Philippe Poutou, candidat du NPA lors de la dernière présidentielle, revient sur son expérience dans un ouvrage co-écrit avec Julien Salingue et Béatrice Walylo, à paraître ce vendredi 3 mars. Il y dénonce « les rapports de classes, le mépris social et la difficulté de défendre des idées anti-capitalistes dans de bonnes conditions ». Entretien.

Votre nouveau livre  Un « petit » candidats face aux « grands » médias paraît ce vendredi 3 mars. Pourquoi avez-vous souhaité partager cette expérience ? 

Les expériences militantes en général sont toujours bonnes à partager. Nous avons voulu raconter, sans prendre un ton de victime , les coulisses des invitations médiatiques lors des campagnes présidentielles.

À travers ces anecdotes, le problème de fond que nous exposons n’est pas la notion de « petit candidat », mais l’instrumentalisation des médias par un système et le traitement réservé à ceux qui n’en font pas partie.

Il s’agit d’illustrer à la fois les rapports de classes, le mépris social et la difficulté de défendre nos idées dans de bonnes conditions, contrairement à d’autres candidats. Ce livre s’adresse à qui veut l’entendre. En soumettant notre expérience, on espère éveiller une curiosité populaire sur ces questions afin de forger une conscience politique et remettre en question le système actuel.

Vous dénoncez l’action de l’Arcom, le gendarme de l’audiovisuel, pendant les campagnes électorales. Pourquoi estimez-vous que les critères qui régissent son fonctionnement sont « plus que douteux » ? 

L’Arcom ne fait qu’aller dans le sens du système électoral, mais il n’est pas plus antidémocratique que l’ensemble de la société. Tout se tient parfaitement. Une élection présidentielle n’est pas faite pour mener un débat politique mais pour organiser formellement un jeu plus ou moins démocratique qui, au bout du compte, est censée aboutir sur la victoire d’un même camp social.

Même si toutes les candidatures jouent la gagne, il y a très peu de suspens lors d’une élection. On est seul à dire ouvertement qu’on ne gagnera pas. Le jeu électoral, tel qu’il est conçu, défavorise une organisation anticapitaliste comme la nôtre et contribue à renforcer notre position minoritaire.

On pourrait alors s’interroger sur l’efficacité de notre participation à un tel banquet sachant en amont qu’on n’en sortira pas gagnant. Mais c’est l’occasion de donner de l’écho à des voix marginalisées, de rendre visibles d’autres idées, et par notre présence, d’illustrer la critique d’un système qui n’est qu’un jeu de dupes.

Vous appelez la gauche sociale et politique à « réfléchir à deux fois avant d’accepter une invitation médiatique ». Mais n’est-elle pas prise au piège des règles édictées par les « grands » médias, au vu de leur impact sur l’opinion publique ? 

Le jeu médiatique correspond parfaitement au jeu institutionnel, et donc la confrontation avec l’un est aussi une confrontation avec l’autre. Quand on intègre cette logique, on comprend également pourquoi personne ne critique l’action des « grands » médias ou ne conteste les règles de l’Arcom.

C’est d’ailleurs très révélateur du respect des candidats de gauche à ces institutions et qui marque la grande différence avec notre vision anti-système. C’est aussi ce que nous avons voulu expliquer tout au long du livre, sans faire la morale, en alertant sur l’instrumentalisation des « grands » médias, mais notre expérience ne suffit pas.

Il faut élargir la réflexion pour que la gauche sociale et politique s’empare de la question et agisse plus judicieusement. Malheureusement, on a l’expérience d’une gauche qui joue le jeu médiatique et même pire, le jeu institutionnel et qui, quand elle est au pouvoir, se comporte comme un pion dominant.

Vous citez le sociologue Pierre Bourdieu, notamment son analyse des « dispositifs télévisuels défavorables aux contestataires de l’ordre dominant ». Quel rôle y a joué à vos yeux l’hyper-concentration des médias ? D’autres facteurs entrent-ils en jeu? 

À partir du moment où l’information et ses outils sont entre les mains d’une classe sociale dont l’objectif est de se faire de l’argent tout en favorisant une domination idéologique, le problème est politique, et même profondément institutionnel.

La concentration des médias est certainement un facteur aggravant de cette situation, mais elle ne change pas sa nature. On s’aperçoit que, grande ou petite émission, journaliste connu ou pas, télévision ou radio, les rapports sont les mêmes.

Le traitement que reçoivent les « petits » candidats est seulement l’illustration d’un mépris social très présent dans la société qui ne concerne pas seulement la politique, mais également la santé, l’éducation ou la culture… Les classes populaires n’y ont pas les outils nécessaires pour faire entendre leurs voix.

Comment proposez-vous de lever toutes ces barrières anti-démocratiques ?

La NPA travaille avec l’historien Dominique Pinsolle, auteur de À bas la presse bourgeoise! qui raconte l’histoire des médias depuis le 19è siècle.

Puisque l’instant que nous vivons est le produit d’une histoire, nous essayons d’inscrire notre expérience dans une vision historique afin de dégager une nouvelle perspective, en lien avec le travail déjà effectué sur la question, notamment celui d’ Acrimed.

Comme pour la mobilisation en cours contre la réforme des retraites, nous croyons que l’intervention populaire est la solution.

Mais pour mieux agir, il faut mieux comprendre. Si les populations sont armées intellectuellement, elles auront tous les leviers possibles pour protester contre les failles du système. C’est seulement par le rapport de force qu’on pourra  fragiliser les dominants, et par conséquents, renverser le système.

https://www.lanticapitaliste.org/

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02 mars 2023 ~ 0 Commentaire

édito (npa)

NPA

greve g

Massive, féministe et reconductible,

Construisons la grève générale !

Alors que le projet de loi sur les retraites est arrivé au Sénat après que le gouvernement a échoué à le faire adopter à lAssemblée nationale, la mobilisation ne faiblit pas. La semaine du 6 mars sannonce à bien des égards décisive, avec la possibilité que nous entrions dans une phase de blocage massif et durable du pays. Tel est en tout cas lobjectif que nous devons nous fixer !

À partir du 7 mars, on bloque tout !

Les premières journées de grèves et de manifestations réussies en janvier et février sont des points dappui précieux pour la suite. Mais face à un gouvernement qui reste déterminé à passer en force, le plus dur reste à faire. Il sagit donc d’élever le niveau du rapport de forces, avec la conviction quil est possible de gagner, et avec lobjectif de bloquer le pays, plusieurs jours de suite, pour les contraindre à remballer leur contre-réforme. Après des années, voire des décennies de reculs sociaux et de mobilisations défaites, nous sommes dans un moment où il est enfin envisageable dinfliger un revers à Macron et aux capitalistes.

Les 7, 8 et 9 mars offrent la possibilité de faire un saut qualitatif à la mobilisation. Lappel intersyndical à la grève le mardi 7 mars a été petit à petit suivi dappels à la reconduction dans divers secteurs : RATP, SNCF, raffineries, éboueurs, dans les établissements scolaires de différentes régions… Le mercredi 8 mars, journée de grève féministe, est une journée clé dans la construction de la mobilisation. Dans le contexte du mouvement contre la « réforme » des retraites, le 8 mars doit être une journée de convergence, qui doit permettre de dénoncer plus que jamais linjustice sociale majeure de la contre-réforme pour les femmes, mais aussi d’élargir, dancrer et de durcir la mobilisation. Et le lendemain, les organisations de jeunesse appellent à la mobilisation, un jeudi 9 mars qui pourrait acter lentrée massive des jeunes dans la bagarre.

Nous pouvons gagner !

Les appels à « tout bloquer » le 7 mars et les jours suivants se multiplient, et cest tant mieux. Mais un tel mouvement de blocage du pays, qui passera nécessairement par une grève reconductible massive, se construit. Dans nos lieux de travail et d’études, dans nos quartiers, il sagit de convaincre le plus grand nombre de se lancer dans la bataille. En construisant des assemblées générales, au boulot, à la fac, au lycée ; en organisant, dans les cadres les plus unitaires possible, tant lunité est une force de cette mobilisation, des réunions dinformation, des diffusions de tracts, etc. ; en rendant visible lopposition à la contre-réforme, par des initiatives de rue, des déploiements de banderoles et de panneaux sur les balcons et aux fenêtres, etc.

La force de notre camp social, et cela avait été rappelé lors de la période du confinement, est que cest nous qui faisons tourner la société. Si on sarrête, tout sarrête. Et si tout sarrête, ils nauront pas dautre choix que de remballer leur contre-réforme ! Au-delà, les faire reculer sur cette énième attaque ouvrirait la possibilité de les faire reculer sur tout le reste de leurs sales projets, y compris la loi « immigration » de labject Darmanin.

La bataille en cours est une bataille éminemment politique, et une victoire changerait la donne pour toutes celles et tous ceux qui, quelles que soient leurs sensibilités politiques, veulent faire vivre la perspective dun autre monde, débarrassé de lexploitation et des oppressions. En redonnant envie, espoir, en reconstruisant les cadres collectifs, les solidarités, et en bâtissant une réelle alternative politique à Macron et à lextrême droite, une alternative de rupture anticapitaliste, féministe, antiraciste, écosocialiste.

Jeudi 2 mars 2023

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02 mars 2023 ~ 0 Commentaire

foot (npa)

mouches-cest-moche-L-1

Football professionnel : viré par la porte Noël Le Graët rentre par la fenêtre

Visé depuis plusieurs mois par des accusations de harcèlement moral et sexuel, de propos outranciers aggravés par une forte consommation d’alcool et par un rapport d’audit accablant sur son management et son comportement, Noël Le Graët, 81 ans, a annoncé sa démission de la présidence de la Fédération française de football.

Pour aussitôt faire savoir qu’il avait été nommé à la tête du bureau parisien de la Fédération internationale de football (Fifa) par le président en personne, Gianni Infantino.

Ce dernier l’a désigné à ce poste « en raison de ses compétences, de son expertise et de son expérience ».

Le Graët pourra donc continuer à se conduire comme un porc avec la bénédiction des plus hautes instances de la Fifa. C’est ce qu’on appelle, en résumé, la déontologie du foot professionnel.

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02 mars 2023 ~ 0 Commentaire

npa (paris)

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02 mars 2023 ~ 0 Commentaire

npa (l’anticapitaliste)

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