Archive | Luttes sociales en Finistère

19 juillet 2013 ~ 0 Commentaire

Agroalimentaire, une centaine de salariés réunis devant la préfecture du Finistère (LT+OF)

Agroalimentaire, une centaine de salariés réunis devant la préfecture du Finistère (LT+OF) dans Luttes sociales en Finistère harry-pgarot-21

« Et à la fin du mois, tu n’oublies pas de toucher ton salaire magique, au moins? » (sans parler de la C5 de fonction magique)

Dans un contexte extrêmement tendu, Guillaume Garot, ministre en charge de l’Agroalimentaire, est en visite en Bretagne depuis ce jeudi. 

Ce vendredi matin, il est à la préfecture du Finistère, à Quimper. Il y est, bien sûr, question de l’avenir de Doux, Marine Harvest et Tilly-Sabco.

empty dans Quimper et pays glazik9H30. Une centaine de salariés réunis Les syndicats n’ont visiblement pas eu le temps de mobiliser, car seule une centaine de salariés est actuellement réunie devant le préfecture. Charles Doux, pour l’entreprise Doux, et Daniel Sauvaget, pour Tilly-Sabco, sont aussi là. Ils n’ont pas été conviés à la réunion qui se tient actuellement en présence de Guillaume Garot.19 juillet 2013 à 09h30

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18 juillet 2013 ~ 0 Commentaire

Hôpital de Morlaix : le mouvement contre les restrictions se poursuit (LO)

Hôpital de Morlaix : le mouvement contre les restrictions se poursuit (LO) dans Luttes sociales en Finistère manifestants-hopital-sud

Au centre hospitalier des Pays de Morlaix (CHPM), c’est un véritable plan d’attaque qui s’annonce pour les trois années à venir : non-remplacement des départs en retraite, augmentation de la polyvalence, remise à plat des astreintes et ex- ternalisation dans les services techniques ; restructurations forcées avec suppressions de postes et fermetures de lits dans les services de soins.

Et, qui plus est, la direction s’apprête à dénoncer l’accord de réduction du temps de travail de 2002, afin de réduire le nombre de RTT. Alors, depuis le 20 juin, le personnel se mobilise. Ce jour-là, une AG exceptionnelle a regroupé 150 agents et un préavis de grève illimitée à partir du 27 juin a été déposé par les syndicats CGT et Sud.

Le 27 juin, 130 agents se sont retrouvés dans le hall de l’hôpital général et se sont invités à la réunion du comité technique d’établissement (CTE) pour y interpeller la direction. Elle s’est contentée de reporter le CTE au lundi 1er juillet. Les manifestants, eux, sont restés discuter de la suite à donner à leur mouvement, avec l’objectif d’inviter le maximum de collègues à les rejoindre. Tous se consi- déraient désormais en grève. Des syndiqués CFDT, partie prenante du mouvement, l’ont d’ailleurs fort bien expliqué à leur dirigeant qui dénigrait l’action engagée, très déçu de n’avoir pu siéger à huis clos au CTE.

Le même soir, une cinquantaine d’hospitaliers se sont rendus à une réunion où Claude Bartolone, président de l’Assem- blée nationale, avait convié la presse et les militants PS de Morlaix. Faisant contre mauvaise fortune bon coeur, Bartolone a chargé l’un de ses acolytes de recueillir les doléances des manifestants.

Le lendemain, 150 agents se sont rendus à la réunion du conseil de surveillance de l’hôpital. La maire UMP de Morlaix, prési- dente du conseil de surveillance, a expliqué qu’il n’y avait pas de raison que l’hôpital ne prenne pas sa part des sacrifices, vu qu’ailleurs c’était parfois bien pire. Les élus ont quitté la salle sous prétexte qu’ils ne pouvaient siéger sous la pression.

La direction, de son côté, ne se prive pas d’exercer des pressions. Alors que, dans les services, nombreux sont ceux qui tiennent à se déclarer en grève, ses cadres traînent à les enregistrer selon la procédure en vigueur en milieu hospitalier, qui permet d’assigner tel ou tel gréviste pour garantir le service minimum. Il faut dire qu’avec le manque chronique de remplaçants, grève ou non, bien des services sont réduits au service minimum à longueur de temps.

Il y a encore eu cent personnes à s’inviter au nouveau CTE du 1er juillet et presque autant à s’adresser aux cadres réunis par la direction le 4 juillet. Ce jour-là, lors de l’AG qui a suivi, il a été décidé de s’adresser à la population en diffusant un tract signé par les trois syndicats de l’hôpital sur le marché de Morlaix du samedi 13 juillet. La direction, confrontée à cette grogne persistante, a reporté à plus tard le conseil de surveillance. Elle multiplie les rencontres avec les syndicats, où elle campe sur ses positions tout en espérant réussir à les embobiner. Alors, la mobilisation continue.

Correspondant LO

http://www.lutte-ouvriere-journal.org/?act=artl&num=2346&id=23

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18 juillet 2013 ~ 0 Commentaire

Quimper,Alkopharm : les inquiétudes des syndicats (OF+ CQ)

Quimper,Alkopharm : les inquiétudes des syndicats (OF+ CQ) dans Luttes sociales en Finistère y-en-a-marre-300x182

Retards de salaires, alerte du commissaire au compte, peur du dépôt de bilan, les représentants de la CFDT d’Alkopharm-Alkochym de Quimper sont inquiets.

Quelle est la situation économique ? Selon les représentants de la CFDT, le commissaire aux comptes des sociétés Alkopharm-Alkochym (entreprises de pharmacie et de chimie qui emploient 89 personnes à Quimper), ex Girex-Mazal, a fait jouer le droit d’alerte. Constatant des pertes financières importantes, il a demandé aux dirigeants de préciser quelles solutions ils comptaient apporter pour équilibrer les comptes. Toujours selon les syndicats, Alkopharm présenterait aujourd’hui un déficit de 8,5 millions d’euros sur deux exercices (les comptes sont arrêtés au 31 mai 2013). « Depuis l’annonce de la cession d’Alkopharm, c’est le silence radio du côté de la direction », explique Gilles Héno, délégué du personnel d’Alkochym.

La peur du dépôt de bilan ? Cinq machines auraient été transférées du site de Quimper à Blois. « Cela ne fait qu’augmenter les inquiétudes », ajoute Gilles Héno. Il reste cependant des machines à Quimper. L’inquiétude est d’autant plus grande que les représentants craignent un dépôt de bilan très rapide.

Des retards de salaires ? Pour le personnel d’Alkopharm, les salaires de juin ont eu du retard. « Nous n’avons été payés qu’hier alors que normalement le salaire arrive au début du mois de juillet. 68 salariés sur 89 n’ont pas été payés à temps. » Économie jeudi 18 juillet 2013 

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Quimper.-Alkopharm-les-inquietudes-des-syndicats_40771-2213066-pere-bre_filDMA.Htm

http://www.cotequimper.fr/2013/07/17/alkopharm-alkochym-forte-inquietude-sur-lavenir-du-site/

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16 juillet 2013 ~ 0 Commentaire

Doux, Tilly-Sabco. « Tous dans la même galère… » (LT+OF)

Doux, Tilly-Sabco. « Tous dans la même galère... » (LT+OF) dans Luttes sociales en Finistère p12-13-renard

L’intersyndicale Doux et Tilly-Sabco s’est de nouveau réunie, hier, à Quimper pour demander une hausse des restitutions européennes.

empty dans Luttes sociales en Finistère« En l’état actuel des choses, 108 € la tonne, ce n’est pas possible, ça ne passe pas », a réaffirmé, hier, à Quimper, l’intersyndicale CGT, CFDT, Force ouvrière des deux principaux groupes français exportateurs de poulets congelés. « Les deux entreprises subissent de plein fouet la distorsion de concurrence avec les Brésiliens. Le réal a dévalué de – 22 % depuis le début de l’année par rapport au dollar et ils connaissent une baisse des cours des matières premières », a affirmé Éric Helly (CFDT Tilly-Sabco). Alors que se tient jeudi, à Bruxelles, une commission de gestion sur les restitutions européennes, l’intersyndicale revendique un montant entre « 260 € et 325 € » soit, pour ce dernier chiffre, le niveau des restitutions il y a un an.

5.000 emplois en jeu  « Si rien n’est fait il y a péril pour les deux entreprises dans six mois maximum. 5.000 emplois directs sont en jeu et toute la filière française sera fragilisée ainsi que le port de Brest ». « On a réussi à mettre les entreprises d’accord, on s’en félicite mais on est dans l’attentisme, on a l’impression que rien ne se fait », a estimé l’intersyndicale sur le volet politique du dossier. « On s’adresse à tous les mai- nres du département, aux députés, députés européens, sénateurs, conseillers généraux. Il faut savoir s’il y a une volonté française de main- tenir la filière. Les politiques subiront ce qui se passera dans les mois à venir, la responsabilité leur en incombe », pour Nadine Hourmant (FO Doux).

Réunion avec Garot vendredi  « Il faut laisser aux deux entreprises les moyens et le temps de mettre en place leurs stratégies et leurs projets de modernisation dans la perspective de la refonte de la Pac en 2015, on ne peut pas, du jour au lendemain, couper les robinets ». « On est tous dans la même galère ». Pour la première fois, hier après-midi, les deux entreprises, l’intersyndicale et la FDSEA pour les aviculteurs ont rencontré ensemble le député de la circonscription de Châteaulin, Richard Ferrand. Vendredi matin, l’intersyndicale participera à une réunion avec Guillaume Garot, ministre délégué, sur la situation de l’agroalimentaire, à la préfecture à Quimper. Elle saura quelle décision aura été prise la veille à Bruxelles.

Commentaire: Evidemment, non! Pas dans la même galère, même pas dans la galère, les patrons!  Solidarité avec les travailleur(se)s! C’est tout!

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10 juillet 2013 ~ 0 Commentaire

Cri d’alarme des salariés de Gad sur le tour de France (LT)

Cri d'alarme des salariés de Gad sur le tour de France (LT) dans Landerneau, Landi, Lesneven y-en-a-marre-300x182

Hier, à l’occasion de la 10e étape du Tour de France entre Saint-Gildas-des-Bois (44) et Saint-Malo (35), une délégation de 150 salariés de la société d’abattage de porcs Gad SAS, venue de l’unité de Lampaul-Guimiliau (29), s’est positionnée sous la flamme rouge, soit à 1 km de l’arrivée. Dans le calme, ils ont déployé quelques banderoles. « Le Tour est beau par son côté sportif mais aussi par ses paysages. Si notre agriculture disparaît, ce ne sera plus la même chose », a souligné la délégation menée par JeanMarc Puchois, maire de Lampaul-Guimiliau. Le plan de continuation préparé par la direction de Gad SAS prévoit la fermeture de plusieurs sites, dont celui de l’abattoir de Lampaul-Guimiliau, qui compte 850 salariés. 10 juillet 2013

http://www.letelegramme.fr/sports/cyclisme/tour-de-france/cri-d-alarme-des-salaries-de-gad-sur-le-tour-de-france-10-07-2013-2167499.php

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06 juillet 2013 ~ 0 Commentaire

Gad. « Le plan de continuation n’est pas viable » (LT)

Gad. « Le plan de continuation n'est pas viable » (LT) dans Landerneau, Landi, Lesneven y-en-a-marre-300x182

150 salariés de Gad à Lampaul-Guimiliau ont échangé, hier, à Lesneven avec Chantal Guittet, députée de la circonscription. « Le plan de continuation n’est, pour moi, pas viable », a-t-elle dit.

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Café et jus d’orange ont été servis à l’entrée du gymnase Yves Corre, à Lesneven, où se sont pressés vers 15 h, hier, pas moins de 150 salariés de Gad. « C’est intéressant de vous voir si nombreux, a salué Chantal Guittet, députée de la circonscription Landerneau-Landivisiau. Vous montrez par votre constance à venir travailler, après le coup de massue reçu vendredi dernier, que vous voulez sauver votre outil de travail ». Calme et poli, le ton de l’échange l’est resté une heure et demie durant. « On tourne en rond », ont, toutefois, noté des salariés. « Notre message est simple est clair : on ne veut pas que Lampaul ferme. On veut que la Cecab nous laisse travailler ». Par rapport au plan de continuation de l’activité présenté, qui sacrifie l’abattoir de Lampaul et prévoit le transfert de 300 salariés sur le site de Josselin, dans le Morbihan, Chantal Guittet s’est pourtant positionnée. « Je n’arrête pas de dire que ce plan de continuation n’est pas viable. Ça ne sert à rien que l’État écrase je ne sais combien de millions d’euros de dettes. Aujourd’hui, c’est Lampaul qui ferme. Après, ce sera Josselin (56). La filière porcine n’intéresse pas la Cecab. S’il y avait un repreneur, on aurait sauté dessus. Des personnes se sont montrées intéressées mais elles n’ont pas déposé de dossier. Toutefois, le tribunal de commerce étudiera toute offre qui se présenterait ». Les salariés ont réclamé la venue à Lampaul-Guimiliau des ministres Stéphane Le Foll et Guillaume Garot. Chantal Guittet s’est engagée à téléphoner au ministre de l’Agriculture.

« C’est la dernière manifestation gentille » Un peu en retrait mais attentif, Patrick Le Goas, délégué syndical Force ouvrière, n’a pas mâché ses mots. « Cette rencontre est sans intérêt. Nous, nous allons trouver un repreneur. Nous avons les éleveurs de porcs du Finistère derrière nous. Voilà la réalité. La stratégie du gouvernement, c’est on donne tout à Jean-Yves Le Drian. Marylise Lebranchu ne va pas laisser piller son département comme ça. Quand va-t-elle intervenir ? Je ne sais pas. C’est une de nos espérances. Aujourd’hui, c’était la dernière manifestation gentille. L’État aurait dû mettre la pression sur la Cecab par un contrôle fiscal, par un contrôle de l’Igas. Des actions que nous allons mener sont prévues. On ne va pas tout dévoiler. L’union s’est faite entre le monde ouvrier et le monde paysan. C’est une question de territoire. Nous allons être obligés d’agir un petit peu de façon corse, de façon basque ».

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02 juillet 2013 ~ 0 Commentaire

Saint-Nazaire. Les salariés de gad SAS manifestent aujourd’hui (LT)

Saint-Nazaire. Les salariés de gad SAS manifestent aujourd'hui (LT) dans Luttes sociales en Bretagne y-en-a-marre

Ce mardi après-midi, les salariés de Gad SAS -mise en redressement judiciaire en février- vont défiler dans les rues de Saint-Nazaire en riposte à la décision de fermeture de certains sites de l’entreprise spécialisée dans l’abattage et la transformation de cochons. Le site de Saint-Nazaire est concerné : 80 emplois sont directement menacés sur le site du groupe installé zone de Brais note Presse Océan. 2 juillet 2013 à 08h44

http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/nantes/saint-nazaire-les-salaries-de-gad-sas-manifestent-aujourd-hui-02-07-2013-2157894.php

 

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29 juin 2013 ~ 0 Commentaire

Gad SAS. L’abattoir de Lampaul-Guimiliau sacrifié (LT+OF)

 Gad SAS. L'abattoir de Lampaul-Guimiliau sacrifié (LT+OF) dans Luttes sociales en Bretagne y-en-a-marre-300x182

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Le plan de continuation du groupe Gad SAS, présenté ce vendredi après-midi en comité d’entreprise extraordinaire, prévoit la fermeture en septembre de l’abattoir de Lampaul-Guimiliau.

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Le comité d’entreprise extraordinaire du groupe GAD SAS s’est tenu ce vendredi. Le plan de continuation a été présenté. Et il prévoit la fermeture après l’été de l’abattoir de Lampaul-Guimiliau et du site de Saint-Nazaire. Ainsi qu’une fermeture progressive du pôle administratif de Saint-Martin-des-Champs.  Ce plan de continuation comprend toutefois des possibilités de reclassement avec 343 emplois qui pourraient être créés à Josselin (Morbihan, 650 salariés) où seront rapatriées les activités d’abattage/découpe, et 400 emplois au sein de la Cecab (groupe coopératif agroalimentaire, actionnaire majoritaire à 65% de Gad SAS, les 35% restants sont détenus par le groupement de producteurs de porcs Prestor), précise Annick Le Guével, secrétaire CFDT du CE.

« Difficile à encaisser »
Olivier Le Bras, responsable FO, a déjà réagi. « C’est difficile à encaisser mais on s’y attendait. Lampaul doit continuer à vivre. Cet abattoir est placé au coeur de la production porcine de la région. On doit s’organiser mais il faut garder notre calme ». Ce plan de continuation n’est pas encore adopté. Il doit d’abord être soumis au tribunal de commerce. Si ce dernier valide, l’abattoir de Lampaul-Guimiliau pourrait fermer dès septembre. 28 juin 2013 à 17h15

http://www.letelegramme.fr/ig/generales/regions/bretagne/gad-sas-l-abattoir-de-lampaul-guimiliau-sacrifie-28-06-2013-2153613.php

Gad. Vers la fermeture de trois sites, 1 000 emplois menacés (OF)

Social samedi 29 juin 2013

Le comité central d’entreprise extraordinaire de Gad, qui s’est tenu ce vendredi, à Rennes, a acté la fermeture de trois sites, dont l’abattoir de Lampaul-Guimiliau. 1 000 emplois sont concernés. En l’absence de repreneur, la Cecab, actionnaire majoritaire du groupe industriel charcutier Gad SAS, a présenté un plan de sauvegarde de l’emploi et un plan de continuation aux terribles conséquences pour l’emploi.

1 000 emplois menacés  Trois sites semblent condamnés. L’abattoir de Lampaul-Guimiliau (Finistère), qui emploie 850 salariés, pourrait fermer dès septembre, suivi par le siège (50 emplois) à Saint-Martin-des-Champs, près de Morlaix, et le site de Saint-Nazaire (80 salariés). 1 000 emplois sont donc menacés et seuls 300 reclassements seraient proposés vers le site de Josselin (Morbihan).

La colère des syndicats « C’est un hold-up, a réagi Olivier Le Bras, secrétaire du CCE – FO, très en colère. La Cecab a démantelé les meilleurs abattoirs bretons. On va essayer de trouver un plan B pour éviter cette casse. »

100 millions de dettes L’entreprise, qui emploi près de 1 700 salariés dans l’Ouest, a été placée en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Rennes le 27 février, avec une période d’observation de six mois. Elle affiche une dette colossale de 100 millions d’euros. Le plan présenté ce vendredi sera soumis au tribunal de commerce, le 21 août.

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Gad.-Vers-la-fermeture-de-trois-sites-1-000-emplois-menaces_55257-2207141_actu.Htm

 

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28 juin 2013 ~ 0 Commentaire

Kersaint-Plabennec. Les salariés de Gad demandent le soutien des producteurs porcins (OF)

Kersaint-Plabennec. Les salariés de Gad demandent le soutien des producteurs porcins (OF) dans Luttes ouvrières

Les salariés de Gad sont venus manifester au siège du groupement de producteurs porcins Prestor à Kersaint-Plabennec. Tous espèrent qu’un repreneur se manifeste…

Quelque 150 salariés de l’abattoir Gad de Lampaul-Guimiliau se sont rassemblés devant le siège du groupement de producteurs Prestor à Kersaint-Plabennec ce jeudi après-midi. Le groupement est actionnaire minoritaire de Gad SAS à hauteur de 34 %. Ils espèrent le soutien des producteurs au cas où une autre solution que celle de l’actionnaire majoritaire, la Cecab, se dégagerait. « J’espère qu’on trouvera une solution satisfaisante, et si aucune proposition n’est faite en dehors de celle de l’actionnaire majoritaire, qu’on trouve une sortie honorable pour tout le monde », déclare Guillaume Roué, le président de Prestor devant le parterre de manifestants. En clair, tous attendent qu’un repreneur se manifeste. Pour l’heure, malgré de nombreux contacts, aucun n’a donné suite. L’actionnaire majoritaire devrait présenter son plan de continuation ce vendredi. Les salariés ne se font pas d’illusion et s’attendent à l’annonce de la fermeture du site de Lampaul-Guimiliau qui emploie 850 personnes. « C’est pas gagné, mais on va se battre »,lâche Olivier Le Bras, délégué syndical FO.

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28 juin 2013 ~ 0 Commentaire

Rosporden Boutet Nicolas. La CFDT veut saisir le tribunal (Lt)

Rosporden Boutet Nicolas. La CFDT veut saisir le tribunal (Lt) dans Concarneau, Fouesnant, Rosporden 130109103520043_7_000_apx_470_

Une vingtaine de salariés d’Aucy se sont rendus au siège de la Cecab à Theix ce matin dès 8 h 30 où se tenaient les assemblées générales statutaires de plusieurs sites, dont celui de Boutet Nicolas à Rosporden.

Deux salariés du site de Rosporden étaient présents accompagnés de salariés de l’Union fermière morbihannaise de Locminé, de Val d’Aucy et de Maingourd. Il a bien-sûr été question du projet de réorganisation de la branche conserve de légumes et plats cuisinés du groupe qui prévoit la fermeture de deux sites dont Boutet Nicolas à Rosporden à l’horizon mars 2014.

Devant le tribunal « Boutet Nicolas, c’est 220 équivalents temps plein et ils ne proposent des reclassements que pour les 150 CDI, dit Fabien Le Corre, délégué CFDT Boutet Nicolas. Mais les mesures d’accompagnement du Plan de sauvegarde de l’emploi sont suspendus étant donné leurs faiblesses au vu des moyens du groupe. On va donc aller devant le tribunal ». Concrètement, la CFDT estime le PSE ne prend pas en compte le maintien du pouvoir d’achat des salariés : « C’est-à-dire le maintien des salaires et les compensations pour frais de route sachant que les reclassements proposés sont à Saint-Thurien ( 87 postes chez Peny) et au Faouët ( 50 postes à la conserverie morbihannaise) ».

Des reclassements…« 376 reclassements sont proposés sur la branche légumes de conserve, indique Denis Ernotte, responsable communication,dont 140 près de Rosporden. Si on ferme ces sites, c’est pour la sauvegarde de la compétitivité. Il faut aujourd’hui des sites plus gros et moins nombreux. Le standard, c’est 80.000 à 100.000 tonnes de production /an ». La CFDT estime qu’il n’ y a pas de raison économique à la fermeture de Boutet Nicolas :  » En 2012, Boutet Nicolas a fait 3,3 M€ de déficit mais il faut enlever 2,9 M€ provisionnés pour le plan social. Il reste donc 400.000 €. Ce n’est rien. La branche conserve est rentable car elle a fait 90 M€ de bénéfice en dix ans. En fait on subit une restructuration pour combler les pertes de Gad soit 50 M€ en deux ans. Cela peut mettre en difficulté l’ensemble du groupe ». « Ces deux dossiers ont leur propre vie. On doit régler le problème de compétitivité », répond Denis Ernotte.

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