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15 juillet 2021 ~ 0 Commentaire

cuba (lutte-ouvrière à-l’encontre contretemps)

viva-cuba

Cuba : crise sociale et conséquences de l’embargo

Le 11 juillet, des milliers de Cubains sont descendus dans la rue pour manifester, de façon inédite, aux cris de « Nous avons faim », « Nous voulons des vaccins », « Nous n’avons pas peur », « Liberté ».

Les anticastristes de tout poil, en tête ceux de Miami, ont voulu voir dans cette journée de révolte, qui a marqué plusieurs villes du pays, la fin du régime.

C’était aller un peu vite en besogne. Mais il reste que cette protestation, quels qu’en aient été les instigateurs via les réseaux sociaux, autorisés depuis 2018, a montré que la population cubaine supporte de plus en plus mal la crise économique et sanitaire qui la frappe.

Elle n’est pas la seule dans le monde : des réactions de colère et de révolte se produisent dans de nombreux pays, du Pérou au Liban, où la dégradation économique est immense.

Cuba n’y a pas échappé. L’économie du pays repose en grande partie sur le tourisme. Mais laisser entrer les touristes a eu pour conséquence de faire entrer le virus. Maintenant, à l’inverse, les touristes ont disparu et avec eux l’activité qu’ils entraînaient.

À cela s’est ajoutée la récente réforme monétaire qui a fondu les deux systèmes qui cohabitaient, une monnaie sous-évaluée pour les locaux, et une monnaie surévaluée pour les touristes. La conséquence est une forte inflation.

Mais une dernière cause, et qui n’est pas la moindre, est le fait que depuis 1962 l’embargo imposé par les États-Unis prive Cuba d’accès à des biens de consommation indispensables, nourriture ou médicaments.

Cuba ne manque pas de dollars mais, du fait de l’embargo, beaucoup de pays qui pourraient traiter avec l’île s’y refusent, pour ne pas subir les foudres de Washington.

Et sur ce plan le président Biden, qui plaît tant à Mélenchon (LFI) et Roussel (PCF), marche dans les traces de Trump, qui avait mis un terme à la demi-ouverture d’Obama.

Ainsi Biden, en même temps qu’il donnait un coup de chapeau aux Cubains de Miami, vient cyniquement d’appeler « le régime cubain à entendre son peuple et à répondre à ses besoins en ce moment crucial, plutôt que de s’enrichir ». C’est l’étrangleur qui crie à l’assassin !

L’embargo promu par Biden et ses prédécesseurs est une arme économique d’un État impérialiste qui souhaite punir un peuple pour avoir conquis son indépendance à son nez et à sa barbe. La misère ainsi provoquée peut alors fournir un prétexte à de nouvelles interventions. Le peuple cubain n’a certes pas à se fier à de tels prétendus défenseurs.

Jacques FONTENOY 14 Juillet 2021
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15 juillet 2021 ~ 0 Commentaire

douarnenez (le télégramme)

folixa

250 manifestants à Douarnenez, contre le « coup d’État » du pass sanitaire

Un appel lancé sur les réseaux sociaux contre « la dictature du pass sanitaire » a réuni 250 personnes mercredi, à Douarnenez.

« Nos libertés fondamentales sont bafouées, l’égalité rompue car l’on divise les citoyens en deux catégories, et la fraternité foulée aux pieds : en ce 14-Juillet, on peut dire que Macron achève la République ». Francis, enseignant marseillais en vacances à Douarnenez, participait ce mercredi à un rassemblement sur la place de l’Enfer contre le pass sanitaire initié la veille sur les réseaux sociaux.

Quelques élus, des gilets jaunes, des militants de longue date contre la politique sanitaire, des vacanciers… Ce public hétéroclite était uni par la dénonciation d’une « dérive autoritaire du Président, auteur d’un coup d’État lundi soir » :

« Il n’y plus d’État de droit, le Président prend seul les décisions après un conseil de défense secret, en évinçant le Parlement, c’est ce qu’on nomme une tyrannie », lance ainsi Anne, venue de Cléden-Cap-Sizun. « Vous niez qu’on est en dictature ? Il veut que nous allions faire nos courses avec un QR code, c’est pire que les Chinois », reprend sa voisine, parlant du pass sanitaire comme d’un « nouvel ausweis ».

« Aujourd’hui Descartes serait un hurluberlu »

« La question n’est pas d’être pour ou contre le vaccin, c’est de dénoncer la division que sème le pouvoir en place », insistera la conseillère municipale de Douarnenez Yolande Bouin. Pourtant, la campagne vaccinale était dans nombre de discussions. « Dire qu’ils veulent l’inoculer à nos petits-enfants, c’est à pleurer, on n’en connaît pas les effets à moyen terme », se désole Jacqueline, une Bigoudène.

« Le problème, ajoute Francis, c’est que dès qu’on émet le moindre doute on est stigmatisé, classé comme zinzin, alors que le doute est la base de l’esprit cartésien : aujourd’hui Descartes serait un hurluberlu ». Les participants ont évoqué les actions à venir, sur le terrain comme dans les tribunaux.

14 juillet 2021

https://www.letelegramme.fr/

 

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30 juin 2021 ~ 0 Commentaire

philippe poutou (npa)

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22 juin 2021 ~ 0 Commentaire

gauche (presse de gauche)

verts-schtroumpf

Affaiblie, la gauche ne désespère pas tout à fait

Pas de « vague verte », mais quelques percées pour les écolos. Un PS qui se maintient à la baisse. Des Insoumis effacés par le scrutin, mais qui font un score honorable avec les communistes en Île-de-France.

Quelle interprétation donner à une élection où deux tiers des inscrits ont boudé les urnes ? Quoique difficilement lisibles du fait d’une abstention jamais vue, le premier tour du scrutin régional donne lieu à des enseignements paradoxaux à gauche. Témoignant de sa faiblesse structurelle face à une droite forte et bien implantée, il a aussi montré que, dans certaines régions, un chemin vers la victoire n’est pas impossible, si les différentes formations s’allient dans la cohérence au second tour.

Dimanche soir, les différentes formations tendaient néanmoins à s’autoproclamer plus victorieuses que leur voisine. Le PS se maintient dans les cinq régions qui lui restent et devrait conserver ses bastions dimanche prochain.

Il est ainsi loin devant en Occitanie et en Nouvelle-Aquitaine (où Alain Rousset brigue un cinquième mandat), et dans une moindre mesure en Bretagne, en Centre-Val de Loire ou en Bourgogne-Franche-Comté (même si la présidente sortante y est talonnée par le Rassemblement national).

«  Les gens se sont raccrochés à ce qu’ils connaissaient, la gauche résiste », s’est félicité Stéphane Le Foll, maire PS du Mans. Si à un an de la présidentielle, et alors que la gauche reste en mal de leadership, cette élection régionale revêtait une dimension nationale, certains, comme le maire d’Alfortville (Val-de-Marne) Luc Carvounas, ont eu tôt fait de déduire qu’en tant que «  première force politique à gauche  », le PS aura « une responsabilité pour rassembler le bloc social écologiste pour 2022 ».

Voilà pour le verre à moitié plein. Pour le reste, sur la totalité du pays, le PS voit son score national régresser d’au moins 7 points par rapport à 2015 (passant de 23,5 % au premier tour il y a six ans à 15,8 % aujourd’hui) , et n’arrive en tête à gauche que dans les régions où le parti est sortant.

Autre déconvenue : dans la très symbolique région Île-de-France, la liste d’Audrey Pulvar, soutenue par Anne Hidalgo, putative candidate socialiste à la présidentielle, rassemble autour de 11 % de suffrages. Elle arrive de peu devant sa concurrente de La France insoumise (LFI), Clémentine Autain, mais derrière Julien Bayou, secrétaire national d’Europe Écologie-Les Verts (EELV), premier du trio à près de 14 %.

La région sera observée à la loupe la semaine prochaine : «  En Île-de-France, le rassemblement de la gauche [PS, LFI et le PCF– ndlr] se fera sans difficulté autour de Julien Bayou au second tour, indiquait, dimanche soir, à Mediapart, Alain Coulombel, porte-parole des Verts. Valérie Pécresse est à 34 % et nous aussi : avec une belle liste d’union, c’est jouable, s’il y a une triangulaire  », ajoutait-il, sans toutefois rappeler qu’en 2015, le « total gauche » était de près de 6 points supérieur à celui de 2021

. « Maintenant, il nous revient de créer la surprise d’ici dimanche », a déclaré, Julien Bayou, qui, contrairement à la campagne du premier tour, peut espérer lancer une dynamique sur cette hypothèse de victoire.

Mais là encore, le détail des résultats doit inviter à une interprétation nuancée. Si le scrutin francilien peut procurer quelques satisfactions aux écologistes, il ne doit pas pour autant masquer un score globalement décevant. Loin de la « vague verte » des municipales – qu’il fallait déjà relativiser –, les Verts, qui avaient fait des régionales une étape décisive dans leur opération de conquête du pouvoir et de l’hégémonie à gauche, ne font que renouer avec leur score de 2010, totalisant autour de 13 % des voix au niveau national.

Il y a quelques mois encore, Yannick Jadot ou Éric Piolle, deux des « présidentiables » du parti, affirmaient pouvoir emporter trois, voire quatre régions. Désormais, seul Matthieu Orphelin, ex-député LREM, passé auparavant par EELV, et parti aujourd’hui à la tête d’une alliance insolite avec LFI, semble en position de force les Pays de la Loire où il devance le candidat socialiste.

Un processus de « remplacement » de la social-démocratie par l’écologie là où le PS n’est pas sortant, observé aux municipales l’an dernier, qui se confirme dans certaines régions, comme en Auvergne-Rhône-Alpes où Fabienne Grebert devance la socialiste Najat Vallaud-Belkacem.

«  Vu l’abstention, on peut difficilement tirer un enseignement national de ce scrutin. La seule chose qu’on peut dire, c’est que si on part séparés, on sera trop faibles pour atteindre le second tour de la présidentielle », avance Alain Coulombel.

L’union, martingale de la victoire ? Peut-être, mais pas dans toutes les situations, comme en témoigne le résultat dans les Hauts-de-France. La seule liste unitaire de gauche de l’Hexagone au premier tour, qui rassemble, derrière l’écologiste Karima Delli, huit formations (de LFI au PS, en passant par le PCF et Génération·s), faisait figure d’exemple à suivre. Elle n’a totalisé que 18 % des voix. Soit dix points de moins que le total gauche en 2015, et le même score du seul candidat du PS de l’époque, Pierre de Saintignon.

Parasitée par les élections départementales, qui ont eu lieu le même jour, où les gauches s’affrontent sur des dizaines de cantons, la campagne dans le Nord n’est pas à la hauteur des espérances, même si la gauche retrouvera des sièges dans l’hémicycle régional qu’elle avait quitté, six ans durant, après s’être retirée en 2015 pour faire barrage au Front national. « Mais il n’y a plus de risque RN, donc on entre dans une autre campagne », souligne-t-on dans l’entourage de la candidate.

En revanche, en Paca, le risque RN est toujours là, ce qui n’a pas manqué de susciter des tensions. Comme un autre signal que l’union n’est pas une mince affaire, les bisbilles sont apparues publiquement entre Verts et socialistes dès dimanche soir – quand on aurait pu espérer des médiations privées préalables.

En cause, le maintien ou non de la liste de Jean-Laurent Félizia, le candidat EELV d’union de la gauche (hors LFI), crédité de 15 % des voix face à la droite et à l’extrême droite en Paca. Dans la nuit de dimanche à lundi, la direction des Verts a annoncé qu’elle retirerait le logo au tournesol à Jean-Laurent Félizia s’il maintenait sa candidature au second tour.

Enfin, alors que La France insoumise ambitionnait, elle aussi, « remplacer » la « vieille gauche » lors de sa campagne présidentielle de 2017, elle ne tire aucun profit de l’affaiblissement général de la gauche.

Au contraire. En Bretagne, Nouvelle-Aquitaine et Occitanie, où le mouvement de Jean-Luc Mélenchon présentait des candidats « autonomes » ( en alliance avec le NPA  dans les 2 dernières), aucune des têtes de liste ne se qualifie au second tour, toutes réalisant des scores aux alentours de 5 %.

Seule Clémentine Autain sort honorablement de sa campagne en région parisienne, l’une des places fortes du mouvement – près de la moitié des députés du groupe parlementaire sont issus de Seine-Saint-Denis (93). Alliée aux communistes, elle recueille un peu plus de 10 % des suffrages, soit presque 4 points de plus que le Front de Gauche en 2015.

Dimanche, à 20 h 05, Jean-Luc Mélenchon est apparu en direct de son QG de campagne dans le 10è arrondissement parisien, pour un discours sombre et bref.

Insistant sur cette nouvelle « grève des urnes » et le « désastre démocratique » révélé par l’abstention, il a regretté, en filigrane, les divisions de la gauche – et parfois le refus des autres partis de faire coalition avec LFI, comme en Paca (et Bretagne ) –, et l’absence d’accord national entre les partis. Il a aussi appelé à ne « pas donner de région » au Rassemblement national.

mardi 22 juin 2021  Pauline Graulle  tiré de médiapart.fr

https://www.pressegauche.org/

https://www.mediapart.fr/

 

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15 juin 2021 ~ 0 Commentaire

l’émission (npa)

 

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14 mai 2021 ~ 0 Commentaire

sheikh jarrah (npa)

visuel-npa-palestine

« À Sheikh Jarrah, une nouvelle génération palestinienne refuse d’abandonner ses droits »

Quatre familles palestiniennes protestent sans relâche contre leur expulsion forcée imminente de leurs maisons dans le quartier de Sheikh Jarrah à Jérusalem-Est — des maisons où elles vivent depuis des décennies.

Si la Cour suprême israélienne se prononce en faveur des colons israéliens, et si la requête que les familles ont déposée auprès de la Cour suprême est rejetée, la propriété des maisons sera confiée à une organisation de colons (1). Huit autres familles du quartier devraient connaître le même sort dans le courant de l’année. Les protestations des familles ont déclenché une vaste campagne pour sauver le quartier.

Une partie intégrante de l’identité historique de Jérusalem 

En raison de son emplacement stratégique et central à Jérusalem, le quartier de Sheikh Jarrah n’est pas une cible nouvelle des activités des organisations de colons. En 2009, la police israélienne a déraciné deux familles de Sheikh Jarrah. Au total, 53 personnes, dont 20 enfants, ont alors été expulsées de leur maison, tandis que leurs affaires étaient chargées dans un camion et ensuite jetées dans la rue près du siège de l’UNRWA.

La question de Sheikh Jarrah fait partie intégrante de la question de Jérusalem — une ville divisée par la guerre qui a accompagné la création d’Israël en 1948.

Sa partie occidentale a été conquise par Israël, tandis que la partie orientale est passée sous contrôle jordanien. Après la guerre de 1967, Israël a occupé le reste de la ville. Cela fait 53 ans d’occupation.

Israël continue de modifier sans relâche le visage de Jérusalem, toujours au détriment de l’existence des autochtones palestiniens. Israël a annexé unilatéralement la partie orientale occupée. Israël a, à ce jour, exproprié les Palestiniens de près d’un tiers des terres de Jérusalem-Est et y a construit 11 quartiers réservés aux Juifs.

Les autorités israéliennes ont révoqué le statut de résident permanent d’au moins 14 701 Palestiniens de Jérusalem-Est, facilité l’installation de plus de 200 000 de ses habitants civils à Jérusalem-Est, et coupé la ville de la Cisjordanie occupée, à laquelle elle était historiquement très étroitement liée, au moyen des colonies et d’un mur de béton de huit mètres de haut. Tout cela a été fait en violation du droit international.

De nature coloniale, la judaïsation des terres situées entre le Jourdain et la Méditerranée s’est nourrie du nettoyage ethnique des Palestiniens. L’expulsion de familles palestiniennes de Sheikh Jarrah en est un exemple. Jérusalem est en effet l’otage des projets israéliens de judaïsation du territoire.

La campagne pour Sheikh Jarrah prend de l’ampleur

Une nouvelle génération de Palestiniens mène la lutte pour Sheikh Jarrah. Elle est jeune, intransigeante et, grâce aux réseaux sociaux, plus connectée que jamais. Elle en a assez des dirigeants palestiniens vieillissants, mais n’a jamais eu l’occasion de voter. Les frères et sœurs Muna et Mohammed El Kurd, dont la famille fait partie de celles qui risquent d’être expulsées, ont été deux des nombreuses forces vives qui ont efficacement défendu leur cause par le biais des médias traditionnels et des réseaux sociaux.

« Nos maisons à Sheikh Jarrah sont vos maisons. Soyez sûrs que si Sheikh Jarrah est contrôlé [par les colons israéliens], le reste de Jérusalem suivra », a déclaré Muna dans une interview. Son frère, Mohammed, explique : « Je veux pouvoir regarder en arrière et dire : « Si nous avons été jetés dans la rue, nous l’avons été avec notre dignité » ».

La Jérusalem palestinienne s’exprime, haut et fort. La semaine dernière, des milliers de Palestiniens, jeunes pour la plupart, ont manifesté dans le quartier et dans le reste de Jérusalem, notamment à la mosquée al-Aqsa.

Ces protestations ont été confrontées à une répression croissante, la police israélienne ayant utilisé des grenades assourdissantes, des canons à eau et de « l’eau de putois »2. Les manifestants ont été brutalisés et des dizaines d’entre eux ont été arrêtés.

À ce stade critique, les jeunes militants et sympathisants exploitent le pouvoir des réseaux sociaux. Ils s’en servent pour susciter la solidarité internationale et pour s’organiser en interne. La plupart des Palestiniens ne peuvent pas entrer à Jérusalem, ce qui renforce la valeur des réseaux sociaux pour relier les Palestiniens par-delà les murs et les frontières et créer des réseaux de soutien entre eux.

Les activistes utilisent également des moyens créatifs pour couvrir les événements qui se déroulent sur les réseaux sociaux. Par exemple, les manifestants se mettent en direct sur Instagram en lien avec des influenceurs de la plateforme, ce qui multiplie le nombre de spectateurs. La censure du contenu palestinien par les plateformes de réseaux sociaux et la collusion avec les institutions israéliennes (3) semblent n’avoir fait que motiver les activistes à inonder internet de davantage d’images et de témoignages.

Le statu quo qui règne en Israël/Palestine, fruit de décennies de politiques sionistes, n’est ni durable ni acceptable.

Les jeunes Palestiniens grandissent et deviennent mécaniquement les cibles de l’apartheid israélien, comme le conclut un récent rapport de 200 pages de Human Rights Watch (4). Comme tout autre peuple, les Palestiniens rejettent catégoriquement un tel destin. Il ne peut pas non plus être accepté par la communauté internationale.

Depuis plusieurs jours, Jérusalem est le théâtre d’un nouvel épisode de violente répression israélienne contre des PalestinienEs se mobilisant pour défendre leurs droits élémentaires : ici, celui de continuer à vivre sur leurs terres. Le NPA est bien évidemment solidaire des PalestinienEs mobilisés face à l’entreprise coloniale israélienne. Nous publions un texte du militant palestinien Faris Amer, initialement mis en ligne sur le site Mondoweiss.

Traduction J.S. Lundi 10 mai 2021

https://lanticapitaliste.org/

Source : mondoweiss.

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04 mai 2021 ~ 0 Commentaire

l’émission (npa)

l'emission

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30 avril 2021 ~ 0 Commentaire

l’émission (npa)

Avec :

Philippe Poutou, porte-parole de la liste On est là ! en Nouvelle Aquitaine, porte-parole du NPA

Bernard Toussaint, candidat On est là ! en Charente-Maritime et militant NPA à Saintes

Irène Leguay, candidate On est là ! en Dordogne et militante NPA à Sarlat

Pauline Salingue, porte-parole d’Occitanie Populaire et militante NPA à Toulouse

Josie Boucher, tête de liste Occitanie Populaire en Catalogne Nord et militante NPA à Perpignan

Maud Jusnel, candidate Occitanie Populaire dans le Tarn-et-Garonne et militante NPA

Ainsi que Louise, coorganisatrice de la Marche lesbienne pour la PMA et membre de la commission LGBTI du NPA et Pierre Le Menahès, ancien secrétaire CGT des Fonderies de Bretagne

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23 avril 2021 ~ 0 Commentaire

jlm (rfi)

jlm

Présidentielle 2022: La France insoumise crée son propre réseau social

Déjà lancé dans sa campagne présidentielle, Jean-Luc Mélenchon ne veut pas connaître les mêmes mésaventures que Donald Trump dont les comptes avaient été suspendus sur les réseaux sociaux en pleine bataille pour la Maison Blanche. Son mouvement, La France insoumise (LFI), a donc élaboré sa propre plateforme.

C’est un réseau social 100% Insoumis qui a été présenté ce jeudi. On peut y retrouver les événements de campagne, créer ou intégrer un groupe de soutien à Jean-Luc Mélenchon ou encore échanger via la messagerie de l’application.

Mais « Action Populaire », c’est son nom, n’est pas seulement un objet politique selon la responsable des outils numériques de La France insoumise.

« On a ce besoin de construire un réseau social qui permet aux Insoumis de rester connectés en toute situation, indique Jill Maud Royer. Les grandes entreprises se permettent un peu de faire leur propre loi concernant qui a le droit de parole sur leur plateforme indépendamment des décisions judiciaires. Ça s’est vu avec Donald Trump, mais ça s’est vu aussi avec des gens plus proches de nous comme Podemos en Espagne. »

Le compte WhatsApp du parti espagnol qui comptait 55 000 abonnés avait en effet été suspendu au printemps 2019, une semaine avant les élections législatives, accusé par la maison-mère de la messagerie, Facebook, de n’avoir pas respecté les conditions d’utilisation.

« Il y a une vraie politique aujourd’hui de Facebook de limiter le contenu politique sur sa plateforme et qui touche tout le monde y compris qui met en péril les gens qui utilisaient cette plateforme vraiment pour organiser le débat démocratique », ajoute Jill Maud Royer.

La France insoumise a donc fait le choix de l’indépendance en développant en interne ce réseau social. Ce qui n’empêchera pas Jean Luc Mélenchon, candidat connecté, de continuer à utiliser les plateformes commerciales que sont Twitter, YouTube, Twitch et autres TikTok.

23/04/2021

https://www.rfi.fr/fr/

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15 février 2021 ~ 0 Commentaire

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antic

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