Archive | Humour

05 mars 2023 ~ 0 Commentaire

les goguettes

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23 septembre 2022 ~ 0 Commentaire

pif le chien (france info)

pif le chien

L’auteur de BD François Corteggiani, l’un des auteurs de Pif le chien, est mort

Ce scénariste et dessinateur de bande dessinée, mort à 69 ans, a collaboré avec un grand nombre de dessinateurs. Il dessinait « Pif le chien » depuis 2011 dans le quotidien L’Humanité.

Le scénariste et dessinateur François Corteggiani, l’un des auteurs des aventures du personnage de bande dessinée Pif le chien, est mort, a annoncé l’éditeur Glénat. « C’est avec tristesse que nous apprenons le décès de François Corteggiani qui s’est éteint ce mercredi 21 septembre à l’âge de 69 ans« , a indiqué la maison d’édition dans un communiqué.

Il et mort à son domicile de Carpentras (Vaucluse), ville où il avait choisi de s’installer et de continuer à dessiner. Ce Niçois de naissance était venu à Paris avant ses 20 ans pour travailler dans l’illustration et la publicité. Mais sa vraie passion, née lors de son enfance, était la BD.

« Pif le chien », « Blueberry », « Lefranc »

« Créant de nombreux personnages, François Corteggiani a collaboré tout au long de sa carrière avec un grand nombre de dessinateurs et travaillé pour divers éditeurs dont Dargaud avec la reprise de La Jeunesse de Blueberry (1990-2015) ou Casterman avec la série Lefranc (2015)« , a indiqué Glénat.

Pour cette maison, il a travaillé sur les séries Bastos et Zakousky, Chafouin et Baluchon, De Silence et de sang, et Sundance. Scénariste de nombreux albums de Pif le chien (personnage né en 1948), et rédacteur en chef BD d’une éphémère reprise du magazine Pif Gadget (de 2004 à 2009), il dessinait ce personnage depuis 2011 dans L’Humanité. Le quotidien a rendu hommage à ses « multiples talents« .

23/09/2022

https://www.francetvinfo.fr/

Pif le Chien

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28 avril 2022 ~ 0 Commentaire

mélenchon (lutte ouvrière)

vouex

Mélenchon : troisième tour de manège

Mélenchon appelle les électeurs de gauche à le propulser Premier ministre de Macron par un vote majoritaire aux législatives de juin. Cette politique, qui a été celle du PS et du PC depuis plusieurs décennies, est un piège pour la classe ouvrière.

Même si Mélenchon cherche à donner à l’Union populaire une apparence radicale, il n’est pas plus crédible que Mitterrand, son modèle, affirmant en 1971 : « Celui qui n’accepte pas la rupture avec la société capitaliste (…) ne peut pas être adhérent du Parti socialiste. »

À l’époque, Mitterrand avait obtenu des dirigeants du PC qu’ils mobilisent leurs militants pour faire campagne pour lui, lui permettant sa victoire en 1981.

Le résultat a été désastreux pour la classe ouvrière. Dès 1983, la gauche au pouvoir tournait le dos à toutes ses promesses, bloquant les salaires, licenciant des dizaines de milliers de travailleurs, notamment dans la sidérurgie et la téléphonie.

Elle démoralisa ainsi profondément les militants et les électeurs du PS et du PC, favorisant la montée des idées réactionnaires, désorientant les travailleurs, au point qu’une partie d’entre eux en est arrivée à voter pour l’extrême droite.

Les cohabitations ont aussi été testées.

La dernière en date est celle entre Chirac, dans le rôle du président, et Jospin dans celui du Premier ministre d’un gouvernement de « gauche plurielle », entre 1997 et 2002. C’est précisément à la fin de cette cohabitation que l’extrême droite parvint pour la première fois au second tour de l’élection présidentielle, en la personne de Le Pen père.

Mélenchon affirme que les législatives peuvent permettre de « battre Macron » et de « choisir un autre chemin ». Mais, encore une fois, il trompe les travailleurs en essayant de leur faire croire que leur sort dépend des politiciens au gouvernement, alors que la réalité du pouvoir appartient à la grande bourgeoisie qui domine toute la société.

Par ailleurs, comment croire qu’on aura une Assemblée nationale composée pour moitié de députés Union populaire ?

D’une part, le mode de scrutin des législatives et le calendrier électoral ont été conçus de façon à favoriser les partis qui se partagent le pouvoir. De plus, si l’Assemblée reflétait fidèlement les rapports de force électoraux, elle serait aujourd’hui très majoritairement de droite. Mélenchon le sait. En réalité, son objectif n’est pas de s’installer à Matignon, mais d’augmenter le nombre de députés de LFI, et d’asseoir la domination de son parti à gauche.

Dans un monde qui s’enfonce de crise en crise à une échelle planétaire, les travailleurs conscients n’ont pas à placer leurs espoirs dans l’élection de députés. Le seul espoir réaliste tient dans leur capacité à se mobiliser pour renverser le pouvoir des capitalistes.

Thomas Baumer 27 Avril 2022

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12 mars 2022 ~ 0 Commentaire

macron (l’étincelle)

debat

Macron veut bien discuter avec Poutine… mais pas avec Poutou

Lors de son premier déplacement de campagne à Poissy, dans les Yvelines, Emmanuel Macron a écarté tout idée de débat avec les autres candidats avant le premier tour.

C’est conforme à son habituel mépris et cela lui permet aussi d’échapper a tout échange contradictoire sur son bilan.

Mais pas seulement. Début février l’entourage du chef de l’État avait fait savoir que Macron n’avait pas envie de se retrouver face à Philippe Poutou et que la confrontation de 2017 lui avait laissé des mauvais souvenirs.

Les équipes du président-candidat ne veulent donc pas d’un clash ultra-médiatisé qui pourrait tourner en la défaveur du locataire de l’Élysée. Grand chef de guerre, peut-être, mais ni courageux, ni téméraire.

9 mars 2022

https://www.convergencesrevolutionnaires.org/

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23 avril 2021 ~ 0 Commentaire

jlm (rfi)

jlm

Présidentielle 2022: La France insoumise crée son propre réseau social

Déjà lancé dans sa campagne présidentielle, Jean-Luc Mélenchon ne veut pas connaître les mêmes mésaventures que Donald Trump dont les comptes avaient été suspendus sur les réseaux sociaux en pleine bataille pour la Maison Blanche. Son mouvement, La France insoumise (LFI), a donc élaboré sa propre plateforme.

C’est un réseau social 100% Insoumis qui a été présenté ce jeudi. On peut y retrouver les événements de campagne, créer ou intégrer un groupe de soutien à Jean-Luc Mélenchon ou encore échanger via la messagerie de l’application.

Mais « Action Populaire », c’est son nom, n’est pas seulement un objet politique selon la responsable des outils numériques de La France insoumise.

« On a ce besoin de construire un réseau social qui permet aux Insoumis de rester connectés en toute situation, indique Jill Maud Royer. Les grandes entreprises se permettent un peu de faire leur propre loi concernant qui a le droit de parole sur leur plateforme indépendamment des décisions judiciaires. Ça s’est vu avec Donald Trump, mais ça s’est vu aussi avec des gens plus proches de nous comme Podemos en Espagne. »

Le compte WhatsApp du parti espagnol qui comptait 55 000 abonnés avait en effet été suspendu au printemps 2019, une semaine avant les élections législatives, accusé par la maison-mère de la messagerie, Facebook, de n’avoir pas respecté les conditions d’utilisation.

« Il y a une vraie politique aujourd’hui de Facebook de limiter le contenu politique sur sa plateforme et qui touche tout le monde y compris qui met en péril les gens qui utilisaient cette plateforme vraiment pour organiser le débat démocratique », ajoute Jill Maud Royer.

La France insoumise a donc fait le choix de l’indépendance en développant en interne ce réseau social. Ce qui n’empêchera pas Jean Luc Mélenchon, candidat connecté, de continuer à utiliser les plateformes commerciales que sont Twitter, YouTube, Twitch et autres TikTok.

23/04/2021

https://www.rfi.fr/fr/

Lire aussi :

 Présidentielle 2022: Jean-Luc Mélenchon déjà en campagne virtuelle

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11 avril 2021 ~ 1 Commentaire

goutal le lay

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07 avril 2021 ~ 0 Commentaire

palais vivienne (a et r)

homard

#OnVeutDesNoms : pour nous boulot-dodo, pour la bourgeoisie les restaus !

Le 2 avril, M6 révélait des images des soirées privées clandestines organisées au palais Vivienne dans le 2è arrondissement de Paris, où se retrouvent régulièrement des membres de la bourgeoisie, grands journalistes, personnalités, patrons, aristocrates, responsables politiques, et même des membres du gouvernement.
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Dans les dorures du palais Vivienne, arborant des tableaux de Napoléon et Johnny Hallyday, les menus vont de 160 à 490 euros et le respect des gestes barrières comme du port du masque, sont très optionnels.
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L’organisateur de ces soirées, Pierre Jean-Chalançon, grand admirateur de Napoléon et collectionneur d’œuvres d’art de l’Empire, a été invité à l’anniversaire de Jean-Marie Le Pen et baigne depuis sa naissance dans les cercles des richards et du pouvoir.
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Il se vante dans des interviews de la tenue de ces soirées, de ses « amitiés » avec des personnalités politiques, de la participation de celles-ci aux soirées. Il cite nominativement Gabriel Attal, le porte-parole du gouvernement.
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Une affaire qui donne à voir le fonctionnement de cette societé 
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Cette affaire éclate dans un contexte où les classes populaires subissent de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire, où les salariés continuent à travailler tous les jours malgré les risques sanitaires, où les soignants souffrent du manque de moyen à l’hôpital, où des clusters se sont développés dans les lycées populaires comme à Drancy dans le 93.
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Alors qu’à longueur de journée, les politiciens bourgeois et les éditorialistes expriment tout leur mépris du monde du travail et de la jeunesse qui ne saurait pas respecter les gestes barrières, et qu’il faudrait mater en lui envoyant la police.
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On constate ainsi que ces gens ne se sentent pas concernés par les règles qu’ils dictent. Ces dîners bourgeois clandestins ne sont qu’un exemple dans une longue série, qui montre que dans la société de classe, selon que l’on est du camps des exploités ou de celui des exploiteurs, nous ne vivons pas dans le même monde.
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Rappelons-nous, lors du premier confinement, des trafics de masques FFP2 dans le 16è arrondissement de Paris, alors que les salariés de première ligne en manquaient cruellement, des bourgeois qui ont loué des îles entières pour échapper au COVID pendant que des centaines de milliers des nôtres étaient confinés dans des chambres insalubres, du record des dividendes lors de la pandémie, alors que des millions de travailleurs, de travailleuses et de jeunes voyaient leur situation se dégrader de jour en jour.
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Après un an de crise sanitaire, voir ceux qui prêchent le sacrifice se gaver dans les soirées mondaines pendant que le reste de la population se voit privé de tout, est révélateur de la nature profonde de cette société capitaliste, d’un spectacle macabre, d’une ignominie sans nom.
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Un monde qui profite d’une crise sanitaire pour asseoir son injustice, c’est un monde que nous avons tout à gagner à renverser !
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Selim 6 avril 2021
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01 avril 2021 ~ 0 Commentaire

macron (npa)

macron petain

Macron, fleuve de la pensée (bourgeoise) ?

Le dictateur roumain Ceausescu aimait, dans les années 1970, à être qualifié de « génie des Carpates » et de « Danube de la pensée ». Sans vouloir pousser trop loin l’analogie, il y a là quelque chose qui fait penser aux courtisans autour de Macron jamais en panne d’idées pour vanter l’intelligence présidentielle.

On avait déjà eu droit à Macron « philosophe » sous prétexte de ses relations passées avec le philosophe Paul Ricœur et de sa capacité à glisser des citations dans ses discours.

Certains se sont lancés dans l’exégèse d’une pensée supposée profonde qui serait à l’arrière-plan de ses décisions politiques.

En 2017, le site de France Culture présentant le livre d’un de ses anciens collaborateurs précisément intitulé « Macron, un président philosophe » parle d’un « homme qui, avant de partir à la conquête du pouvoir, s’est doté de fondations d’une rare solidité, d’une « boîte à outils conceptuelle » bien plus performante que celle de ses rivaux. »

Ce verbiage masque mal la vérité : les idées présidentielles correspondent à la pensée moyenne enseignée à l’ENA et à la doctrine néolibérale.

Macron ne se distingue de ses rivaux et prédécesseurs que par sa capacité à défendre avec aplomb des « vérités » successives et son mépris affiché des « derniers de cordée ».

Le fond de sa pensée économique pourrait se résumer à :

« Les pauvres ne cherchent pas de travail car ils sont trop aidés, les riches sont découragés car ils paient trop d’impôts ». Et ce programme est mis en œuvre avec ténacité, de la réforme des allocations chômage et de l’allocation logement à la baisse des impôts des riches et des sociétés.

Maintenant est venu le temps du « président épidémiologiste ».

« Le président a acquis une vraie expertise sur les sujets sanitaires, explique ainsi le ministre de l’Éducation, Jean-Michel Blanquer. Ce nest pas un sujet inaccessible pour une intelligence comme la sienne et au regard du temps important quil y consacre depuis plusieurs mois. »

Et un autre courtisan (le président de l’Assemblée) ne craint pas d’assurer : « Un jour, il pourra briguer l’agrégation dimmunologie ». Ce genre d’affirmations suscite l’ironie des vrais épidémiologistes mais rien ne brise l’arrogance de Macron malgré la tournure dramatique de l’épidémie.

Tout cela nous ramène à une vérité nécessaire énoncée il y a 150 ans dans l’appel du Comité central de la Garde nationale avant les élections à la Commune de Paris :

« Ne perdez pas de vue que les hommes qui vous serviront le mieux sont ceux que vous choisirez parmi vous, vivant votre propre vie, souffrant des mêmes maux.

Défiez-vous autant des ambitieux que des parvenus ; les uns comme les autres ne considèrent que leurs propres intéts et finissent toujours par se considérer comme indispensables ».

L’Anticapitaliste 01/04/2021

https://lanticapitaliste.org/

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07 mars 2021 ~ 0 Commentaire

sarkozy sondage (le huff’)

sarko maf

Sarkozy condamné: les politiques traités « moins sévèrement » par la justice

Selon un sondage Ifop, 50% des Français interrogés considèrent que Nicolas Sarkozy est traité par la justice “mieux qu’un simple citoyen”.

Les Français pensent que les politiques sont traités « moins sévèrement » par la justice (sauf les partisans de Sarkozy)

Traitement de faveur? Une majorité de Français (62%) pensent que les personnalités politiques sont traitées “moins sévèrement” par la justice que les simples citoyens et 50% que Nicolas Sarkozy, condamné récemment à de la prison ferme, l’est “mieux qu’un simple citoyen”, selon un sondage de l’Ifop ûblié ce 7 mars dans le Journal du Dimanche.

Ainsi, seules 12% des personnes interrogées considèrent que les personnalités politiques sont traitées “plus sévèrement” que les simples citoyens, et 26% “ni plus, ni moins sévèrement”.

Pour les Républicains, pas de traitement de faveur

En revanche chez les sympathisants des Républicains, le parti de Nicolas Sarkozy, ils ne sont que 19% à penser que les personnalités politiques sont traitées “moins sévèrement” que les simples citoyens, au lieu de 79% chez les Verts, 75% chez LFI, 73% au PS, 70% au RN, et 56% chez LREM.

En réponse à une autre question sur Nicolas Sarkozy, condamné la semaine dernière à trois ans d’emprisonnement, dont un ferme, pour “corruption” dans l’affaire dite des écoutes”, les Français sont 22% à estimer que Nicolas Sarkozy est traité par la justice “moins bien qu’un simple citoyen” et 28% “comme un simple citoyen”.

Si 50% de Français considèrent que l’ancien président est traité par la justice “mieux qu’un simple citoyen”, seuls 14% des Républicains le pensent.

Enquête réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 4 au 5 mars 2021, auprès d’un échantillon de 1012 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d’erreur comprise entre 1,4 et 3,1 points.

07/03/2021

https://www.huffingtonpost.fr/

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04 septembre 2020 ~ 0 Commentaire

cuisine (lutte ouvrière)

ps

Cuisine électorale : vieux pots et soupe rance

La crise sanitaire n’a pas empêché les partis de gauche de tenir fin août leurs universités d’été et de poursuivre leurs grandes manœuvres. Le PS, la France insoumise, Europe écologie- Les Verts ou le PCF cherchent la meilleure configuration d’alliances pour gagner ou sauver des élus lors des élections régionales de 2021.

Les ténors ambitieux de ces partis, Mélenchon, Jadot et les autres, rivalisent pour se poser en candidat « commun » lors de la présidentielle de 2022.

Génération après génération, la même pièce se reproduit, avec l’apparition de nouveaux acteurs quand les anciens sont trop usés et quelques innovations dans les dialogues et le langage.

Longtemps au centre des moutures de l’union de la gauche, le PS reste très affaibli par le quinquennat de Hollande et sa défaite aux législatives de 2017. Il est aujourd’hui concurrencé par les écologistes, qui se sentent pousser des ailes depuis leurs succès aux dernières municipales.

Entre le PS et LFI, c’est désormais à qui sera le plus écologiste.

À Blois où se tenaient les journées du PS, Olivier Faure a multiplié les déclarations d’amour à Yannick Jadot, promettant que « la justice écologique sera le cœur de notre combat » et annonçant « un printemps de la gauche et de l’écologie ».

Aux journées de LFI, près de Valence, Mélenchon a affiché sa complicité avec le maire EELV de Grenoble avant de d’embrayer sur « l’urgence climatique » et « le péril collectif » que représente le réchauffement du climat.

Les écologistes séduisant surtout les cadres et la petite bourgeoisie urbaine, Mélenchon a eu des mots pour les électeurs des classes populaires et les militants ouvriers. Il a dénoncé avec verve les lois du marché, proposé des nationalisations, et même la planification de l’économie.

Parce qu’il sait que le PCF et son réseau militant comptent encore, il a fait le déplacement à Malo-les-Bains pour la journée d’été de ce parti. De leur côté, les dirigeants du PCF n’ont rien d’autre à proposer que « le réchauffement des relations entre toutes les formations de gauche pour battre Emmanuel Macron », selon les mots de Sébastien Jumel, député de Seine-Maritime.

Mais battre Macron pour mettre Jadot ou Mélenchon à l’Élysée ne changera pas plus le sort des travailleurs que le remplacement de Sarkozy par Hollande en 2012.

Que l’union se fasse finalement autour de LFI, d’EELV ou du PS, ou qu’elle ne se fasse pas, cela n’enrayera ni la crise économique ni la crise écologique engendrées par un système capitaliste en faillite.

Ces partis et ces personnalités cherchent le meilleur langage pour séduire le plus grand nombre d’électeurs. Mais une fois installés au sommet de l’appareil d’État, au Parlement ou dans les ministères, ils n’ont d’autres solutions ni d’autres objectifs que de se soumettre aux exigences des capitalistes.

Xavier LACHAU 02 Septembre 2020

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