Archive | Chômage & précarité

22 octobre 2013 ~ 0 Commentaire

Cours nouveau au ministère du logement : la police contre les mal-logés (Npa)

Cours nouveau au ministère du logement : la police contre les mal-logés (Npa) dans Chômage & précarité 534607464

Depuis une semaine la police intervient pour démanteler les campements que tente d’installer le DAL place de la République à Paris, ou disperser les rassemblements statiques pourtant officiellement déclarés.

Elle intervient brutalement, frappant, blessant, arrêtant les mal logés et leurs soutiens. Pour que les choses soient plus claires encore le préfet de police de paris vient de signifier au DAL l’interdiction pendant une semaine de tout rassemblement sur la place !

Après avoir annoncé des réquisitions des logements vides avant décembre 2012, puis pour mars 2013, le ministère du logement est dans l’incapacité de faire face à ses obligations. Après sa loi ALUR qui ne répond à aucunes des situations d’urgence des mal-logés, après l’incurie manifeste du 115 en matière d’hébergement à la veille de l’hiver, le Gouvernement choisit de cogner sur le mouvement social, les mal-logés, les prioritaires du DALO, sur ceux qui refusent la fatalité du mal logement et les politiques qui l’organisent.

Dans la même logique il frappe aussi à Toulouse, à Poitiers. Quel aveu d’impuissance ! Quel mépris des exclus du logement qui résistent et de leurs soutiens !

Le NPA tient à apporter toute sa solidarité aux mal-logés, au DAL, en butte à cette répression. La police doit arrêter immédiatement d’intervenir contre les mal-logés à la rue. Il exige que le gouvernement tienne ses engagements, répondent à l’urgence en matière d’hébergement et de relogement, entre autres en réquisitionnant les logements vides.

Montreuil, le 22 octobre 2013 http://www.npa2009.org/node/39237

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17 octobre 2013 ~ 0 Commentaire

Brest, refus de la misère, manifestation aujourd’hui (LT)

Brest, refus de la misère, manifestation aujourd'hui (LT) dans Chômage & précarité taxtherich-300x165

La 27e Journée mondiale du refus de la misère, instituée par l’Onu, est l’occasion pour plusieurs associations brestoises d’agir ensemble contre les préjugés sur les personnes vivant en grande pauvreté. Un collectif comprenant l’Abaafe, Amnesty International, ATD Quart-monde, le CCFD, Emmaüs, Entraide et amitié, la halte d’accueil Ozanam, la Ligue des droits de l’Homme, Peuples solidaires, avec le soutien du Secours catholique et du Secours populaire, appelle à une manifestation programmée aujourd’hui, à 16 h, en deux points de rencontre, l’un devant de l’Espace Jaurès, l’autre rue de Siam, devant Dialogues. À 17 h 30, la marche contre les préjugés partira de Saint-Martin et descendra la rue Jean-Jaurès pour rejoindre l’hôtel de ville où se tiendra, à 18 h, un rassemblement citoyen avec des témoignages vécus de stigmatisation. 17 octobre 2013 à 09h10

http://brest.letelegramme.fr/local/finistere-nord/brest/ville/refus-de-la-misere-manifestation-aujourd-hui-17-10-2013-2271264.php

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12 août 2013 ~ 0 Commentaire

Grande-Bretagne : le contrat zéro-heure ou la précarité institutionnalisée (Les Inrocks)

Grande-Bretagne : le contrat zéro-heure ou la précarité institutionnalisée (Les Inrocks) dans Chômage & précarité macdo

Ni temps de travail garanti, ni salaire minimum, les « zero-hours contracts » (contrats zéro-heure) concernent plus d’un million de Britanniques.

Et c’est McDonald’s qui en comptabilise le plus, avec 82 800 employés sous ce type de contrat très spécifique. A la base du concept du contrat zéro-heure, une liberté quasi-totale : l’employeur n’est pas obligé d’offrir un travail régulier à son employé, l’employé n’est pas obligé d’ac- cepter les heures que son employeur lui propose. Un retraité qui cherche à arrondir ses fins de mois s’en accommoderait parfaitement, et pourrait décliner poliment une proposition de travail le vendredi soir car un film qu’il adore passe à la télé. Un étudiant pourrait également se satisfaire de ce travail à la carte, et accepter toutes les heures qu’on lui propose en soirée comme en week-end, car il prévoit de s’offrir une place pour un festival de musique avec ses potes le mois prochain (festival pendant lequel il refusera légalement les heures de travail pro- posées). Sauf que le contrat zéro-heure concerne aujourd’hui plus d’un million de Britanniques, dont des hommes et des femmes devant subvenir aux besoins de leur famille. Ceux-ci se retrouvent, de par la nature aléatoire de leur contrat, dans une situation de précarité.

Triste record pour MacDo Le nombre de contrat à zéro-heure en Grande Bretagne a dépassé le seuil record du million, et ne cesse d’augmenter. Ce chiffre alarmant a été révélé par le Chartered Institute of Personnel Development, contredisant le rapport officiel commandé par le gouvernement. En effet, si le Bureau national des statistiques a reconnu une hausse considérable des contrats zéro-heure, il ne les a chiffré qu’à 250 000 en 2012, en admettant tout de même que ce chiffre était sans doute inférieur à la réalité. Pourtant,  présent depuis long- temps sur le pays (une porte-parole du groupe McDonald’s confie au journal anglais The Guardian que la chaîne emploie ce type de contrats depuis son implantation en 1974) c’est seulement sous le gouvernement Cameron que cette pratique a commencé à être quantifiée et à faire polémique.

L’impact d’un tel type de contrat sur les conditions de travail et le niveau de vie des Britanniques a été ignoré. Aujourd’hui, les employés en contrat à zéro-heure n’ont aucune marge, aucune souplesse. Il leur est impossible de se projeter à moyen et long terme ou de rembourser leurs dettes. Ils peuvent travailler 12 heures ce mois-ci, 45 celui d’après : aucun salaire minimal garanti. Les syndicats travail- listes veulent interdire ce contrat d’un nouveau genre, et déplorent son expansion qui accentue selon eux la précarité. Militant pour cette abolition, le syndicaliste Andy Sawford ironise dans le journal anglais The Guardian en prenant pour cible les chaînes de fast-food comme McDonald, Subway ou KFC : « Dans la gestion de leurs produits, il savent précisément estimer les besoins de leurs clients pour leur donner la parfaite quantité de nourriture et éviter le gaspillage. Ils pourraient utiliser le même processus pour estimer les besoins de leurs employés et leur offrir la stabilité nécessaire. » McDonald’s n’avait pas besoin de l’émergence de ce type de contrats pour faire polémique autour des conditions de travail de ses employés. Le 5 août dernier, la plus grande chaîne alimentaire du Royaume-Uni a remporté le triste record de l’entreprise ayant signé le plus de contrats à zéro-heure. Avec 82 800 employés sous ce type de contrats, elle devance de loin la chaîne de pubs/bars JD Wetherspoon (24 000) et Sports Direct (20 000), la plus grosse chaîne de magasins de vente d’articles de sports du pays.

Si Karl Marx voyait ça D’après le site du Guardian, un contrat type zéro-heure stipule à l’adresse de l’employé que : « L’entreprise n’a pas le devoir de vous proposer du travail. Vos heures de travail ne sont pas prédéterminées et vous seront notifiées sur une base hebdomadaire dès que le responsable du magasin sera en mesure de vous les fournir. L’entreprise a le droit de vous demander de travailler pour des heures va- riées, et prolongées. » Et si en contrepartie, l’employé peut refuser les heures qu’on lui propose, il s’expose à des représailles. L’employeur qui a besoin que son employé soit à son poste tel jour pendant tant d’heures, sera tenté, après un refus, de ne plus lui proposer de travail pendant une période donnée. Comme l’écrit le service économie du Guardian sur son blog, « dommage que Karl Marx ne soit plus là pour voir ça ».

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06 août 2013 ~ 0 Commentaire

RSA, le Conseil de lutte contre l’exclusion réclame une hausse de 25 % (OF)

RSA, le Conseil de lutte contre l’exclusion réclame une hausse de 25 % (OF) dans Chômage & précarité 34jrd00zGavroche à la tête d’une manif

Le CLNE préconise une hausse du RSA de 25%, au lieu des 10% prévus

Etienne Pinte, ancien député UMP,  reconduit à la présidence du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale (CNLE), préconise une revalorisation de 25 % du RSA sur cinq ans, dans un entretien à La Croix à pa- raître mardi.

« Une hausse du RSA de 10 % est prévue (par le plan quinquennal du gouvernement contre la pauvreté, N.D.L.R.), mais le CNLE la juge insuf- fisante et préconise une revalorisation de 25 % sur cinq ans », a expliqué Etienne Pinte, président du Conseil national des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale.

Une revalorisation de la CMU préconisée

Le président du CNLE insiste aussi sur la nécessité d’augmenter les aides personnalisées au logement, « qui représentent parfois jusqu’à 30 % du budget logement des familles les plus modestes ». Enfin, le CNLE réclame une revalorisation du plafond de la couverture maladie universelle (CMU). Le CNLE, créé en 1992, est composé de 54 membres. Il publie rapports et avis sur les thèmes de l’exclusion et assiste le gouvernement dans la politique de lutte contre la pauvreté. Social lundi 05 août 2013

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-RSA.-Le-Conseil-de-lutte-contre-l-exclusion-reclame-une-hausse-de-25-_6346-2217946_actu.Htm

Commentaire: Ils ont si peur?

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29 juillet 2013 ~ 0 Commentaire

Lamballe, près de 4 000 personnes recherchent un emploi (OF)

 Lamballe, près de 4 000 personnes recherchent un emploi (OF) dans Chômage & précarité gueule

Fin mai, près de 4 000 personnes étaient inscrites à Pôle emploi, à Lamballe. Parmi elles, 2 237 n’exercent aucune activité.

Les femmes majoritaires La part des femmes a augmenté de 14,7 % en un an, contre 21,1 % pour les hommes. « Les femmes sont repré- sentées dans l’emploi agroalimentaire et dans l’assistance auprès d’enfants. Elles restent inscrites car ce n’est pas une activité à temps plein et elles peuvent avoir plusieurs employeurs », fait remarquer Hervé Le Pottier, directeur de Pôle emploi.

Les jeunes souffrent Les moins de 25 ans sont les premiers à subir des difficultés : 662 jeunes sont concernés par le chômage. En un an, leur nombre a augmenté de 23,7 %. « Le territoire de Lamballe fonctionne beaucoup avec l’intérim. Si l’intérim ne fonctionne pas, les jeunes sont touchés », observe le directeur.

Le poids de l’intérim Sur les 4 000 demandeurs d’emploi du bassin, 1 095 sont des intérimaires. Soit 3 % de l’intérim breton. « Contre 5 % pour le bassin briochin alors que nous avons trois fois moins de demandeurs d’emploi ! C’est un poids énorme. » Emploi lundi 29 juillet 2013

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Bassin-de-Lamballe.-Pres-de-4-000-personnes-recherchent-un-emploi_40771-2216116-pere-bre_filDMA.Htm

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25 juillet 2013 ~ 0 Commentaire

Chômage, « Le retournement n’est pas là » selon Sapin (OF)

Chômage, « Le retournement n’est pas là » selon Sapin (OF) dans Chômage & précarité 13630-2010-11-emploi-france-dijon-pole-emploi-greve-bienvenue-a-pole-chomage-bloem-dessin-dijonscope

Le ministre du Travail, Michel Sapin, a estimé ce jeudi que, sur le front du chômage, « le retournement » n’était « pas là », alors que le nombre des demandeurs d’emploi sans activité est reparti à la hausse en juin avec 14 900 nouveaux inscrits en métropole. « Non, le retournement n’est pas là. Il y a un ralentissement. Le ralentissement c’est le moment qui précède le retournement » de la courbe du chômage, en hausse depuis 26 mois, a-t-il déclaré sur Europe 1. Le président François Hollande s’est engagé à inverser la courbe du chômage à la fin de l’année. Économie jeudi 25 juillet 2013

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Chomage.-Le-retournement-n-est-pas-la-selon-Sapin_6346-2215061-fils-tous_filDMA.Htm

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17 juin 2013 ~ 0 Commentaire

Occupons Pôle Emploi ! Action mercredi 19 juin (Rennes infos)

Occupons Pôle Emploi ! Action mercredi 19 juin (Rennes infos) dans Chômage & précarité

 Après une année sous le régime Hollande, le chômage et la précarité de masse semblent devenus tellement banals qu’ils passeraient pour des situations privilégiées au yeux de nos dirigeants nationaux et européens.

Pourtant, l’immolation de Djamal Chaab à Nantes le 13 février, les suicides de conseillers Pôle Emploi ou la crise cardiaque d’une chômeuse de 51 ans lors d’un passage d’huissier et de flics venus récupérer des indus de 1700€ de Pôle Emploi (le 30 mai dernier), nous rappellent plus que jamais la brutalité de notre condition : celle de coupables en attente d’être exploités, poussés à se battre pour les miettes. Mais jamais rassasiés, le MEDEF et ses troupes de choc d’actionnaires et d’évadés fiscaux trouvent encore insupportable que les chômeurs soient aussi bien lotis, et réclament à grands cris une renégociation, à la baisse, de l’Assurance Chômage.

Et comme ils semblent pouvoir fixer le calendrier de nos élus socialistes, celle-ci est prévue l’automne prochain, juste après la réforme des retraites, sous l’égide bienveillante du gouvernement.  Il devient clair que si nous ne réagissons pas dans ce contexte de crise où l’état d’urgence éco- nomique est devenu la norme, nous risquons de prendre un véritable attentat social en pleine figure. Ayant de plus en plus de mal à faire croire qu’il serait de gauche, le gouvernement organise du coup une conférence sociale le 20 et 21 juin sous le vernis du « dialogue social ». Cette opération marketing a pour but de dévoiler les prochaines mesures d’austérité (retraite, chômage, privatisations…) pour tester la réaction des syndicats.  Et fidèle à son habitude d’envoyer les CRS lorsque les collectifs de chômeurs-euses demandent à être reçus par le premier ministre, ceux-ci ne sont bien sûr pas invité-es à participer à cette conférence !

Alors que des marches de chômeurs-euses sont organisées à travers plusieurs villes de France en partant de l’île de la Réunion pour arriver à Paris le 6 juillet prochain, le Mouvement des Chômeurs et Précaires en Luttes de Rennes appelle, en solidarité avec la marche et contre toutes les offensives libérales actuelles, à une journée d’action et d’occupation ce mercredi 19 juin.

Nous exigeons :
- L’arrêt immédiat de toutes les radiations des chômeurs-euses par Pôle Emploi
- L’annulation des dettes pour indus à Pôle Emploi
- L’arrêt des dispositifs de travail gratuit comme les Évaluations en Milieu Professionnel (EMT) et autre Actions de Formation Préalable au Recrutement (AFPR). Si le-la chômeur-se travaille, il-elle doit être payé-ée en conséquence.
- La suppression de tout dispositif coercitif et de contrôle dans le système de gestion informatisé des chômeurs-euses par Pôle emploi (appelé Système GOA).

MCPL – Mouvement des Chômeurs et Précaires en Lutte RDV mercredi 19 juin à 12h00 métro république. Rennes

http://www.rennes-info.org/Occupons-Pole-Emploi-Action

 

 

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17 juin 2013 ~ 0 Commentaire

Chômage. Les « Invisibles » veulent faire entendre leur voix (LT)

Chômage. Les « Invisibles » veulent faire entendre leur voix (LT) dans Chômage & précarité les-associations-de-chomeurs-revendiquent-notamment-de_591824_510x255

Ils n’ont jamais été aussi nombreux et restent pourtant « invisibles » : une marche de chômeurs s’élance, aujourd’hui, à travers la France.

Plusieurs dizaines de demandeurs d’emploi prendront la route depuis Montpellier (Hérault) et Haguenau (Bas-Rhin), pour une arrivée prévue le 6 juillet à Paris, avec le souvenir de la mobilisation de l’hiver 1997-1998. Outre les revendications d’urgence (création d’un fonds social d’urgence, arrêt des ra- diations à Pôle emploi…), les associations de chômeurs (MNCP, Apeis, AC !), soutenues par deux syndicats de Pôle emploi et Attac, contestent le refus du gouvernement de les associer à la conférence sociale (de jeudi à vendredi).

« En situation d’apathie »
Alors que les listes de Pôle emploi n’ont jamais été aussi longues (3,26 millions de chômeurs sans activité en avril), les chômeurs entendent aussi « donner de la voix » avant la négociation qui définira, à l’automne, de nouvelles règles pour l’assurance chômage. Pour Alain Marcu, d’AC !, « les chômeurs sont noyés dans les difficultés du quotidien, en situation d’apathie, ils restent dans leur coin et sont invisibles ». Second type de réaction, une « révolte im- puissante, contre l’ordre du monde ou contre soi, comme le montre le cas du demandeur d’emploi qui s’est immolé à Nantes » en février, souligne le psychiatre Michel Debout.

Aucune représentativité
L’action collective des chômeurs – statut qui bénéficie d’une image dévalorisante – est structurellement faible. L’enjeu, pour les associations, est aussi d’asseoir leur légitimité pour devenir des interlocuteurs officiels. « On est consultés par les commissions parlementaires, l’Unédic et même le Medef, mais cela ne se traduit pas au niveau des pouvoirs publics. Sapin comme Ayrault refusent de nous recevoir », dénonce l’ancien président du MNCP. Mais, selon le sociologue Didier Demazière, « le gouvernement n’a pas les mains libres car les syndicats sont globalement hostiles à ce que les chômeurs deviennent une composante supplémentaire du dialogue social ». Un récent rapport parlementaire préconisait pourtant l’entrée des associations de chômeurs dans le Conseil d’administration de Pôle emploi.17 juin 2013

http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/chomage-les-invisibles-veulent-faire-entendre-leur-voix-17-06-2013-2139029.php

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10 juin 2013 ~ 0 Commentaire

Côtes-d’Armor, précaires, action syndicale à Dinan et Lamballe (LT)

Côtes-d'Armor, précaires, action syndicale à Dinan et Lamballe (LT) dans Chômage & précarité 13341.preview

L’Union syndicale CGT a décidé de mener une action spécifique en direction des personnels précaires du département, c’est-à-dire les intérimaires et les CDD.

« Ce sont les premières victimes de la crise dans un département où le nombre de chômeurs est passé de 26.000 en 2008 à 41.300 en avril 2013 », explique Jean-Edmond Coatrieux, secrétaire départemental de la CGT. « Or, ces salariés sont encore plus fragiles que les autres », estime le responsable syndical qui parle de « salariés jetables » exclus des dispositifs liés aux licenciements économiques. « Aujourd’hui, on adapte le personnel au carnet de commandes », s’insurge encore le responsable syndical. Et « cela ne concerne plus uniquement l’agroalimentaire mais tous les secteurs d’activités ».

Gérard Filoche à Dinan le 12 juin
La première action sera menée aujourd’hui dans le secteur de Dinan où les représentants syndicaux prévoient une distribution de tracts et une information devant les entreprises Cordon Electronics et Gavottes. La même opération sera engagée demain, sur plusieurs gros industriels lamballais. Enfin, cette série d’actions s’achèvera mercredi devant l’entreprise Delmotte de Broons. La journée se clôturera par un débat public qui reviendra sur ces trois journées d’action. L’homme politique et syndicaliste Gérard Filoche participera à ce débat qui se tiendra à partir de 20 h à la salle de la Source, à Dinan.10 juin 2013

http://www.letelegramme.com/ig/generales/regions/cotesarmor/precaires-action-syndicale-a-dinan-et-lamballe-10-06-2013-2130980.php

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